Anne-Sophie Pelletier était eurodéputée insoumise avant d'être exclue du groupe d’élus LFI en décembre 2023.

Javier Milei a rééquilibré les comptes publics en Argentine avec la dévaluation du peso, la fin des subventions aux transports et à l’énergie et des coupes budgétaires. L’inflation de 211 % à la fin 2023 sur un an a été ramenée à 66 %.

Dominique Voynet a été placée à la tête du Haut Comité pour la transparence et l’information sur la sécurité nucléaire (HCTISN). Il s'agit d'une nouvelle démonstration des capacités d'entrisme du lobby écologiste au sein des institutions françaises, Dominique Voynet étant une antinucléaire déclarée et offensive. Alors que la France doit effacer une décennie d'errements qui ont failli lui coûter son indépendance énergétique et qui ont empêché la rénovation de son parc nucléaire, cette nomination étonne.

L’inscription d’un texte à l’ordre du jour de la séance publique passe par une décision de la conférence des présidents. Le gouvernement y dispose d’un pouvoir important, puisqu’il contrôle deux semaines, contre une pour les propositions de loi, et une autre pour le contrôle, qui sont sous le contrôle des groupes parlementaires.

Bruno Retailleau peut-il faire ce que Nicolas Sarkozy a fait en 2007 avec la « ligne Buisson » ? La côte de popularité du ministre de l’Intérieur dépend dangereusement des résultats qu’il obtiendra dans son bras de fer avec Alger. Pour en parler, Christophe Boutin et Bernard Sananès.

Une récente enquête de la Direction de la recherche, des études, des évaluations et des statistiques (Drees) documente en chiffres la crise des urgences qui sévit aujourd’hui en France. En dix ans, la situation s'est très nettement dégradée.

L’Algérie a mis au défi Bruno Retailleau d’agir en refusant de récupérer ses ressortissants que le ministre voulait expulser. Courroucé mais diplomate, Bruno Retailleau a répliqué sur X : « Je regrette que l’Algérie refuse d’appliquer le droit international. Comme l’a décidé le Comité Interministériel sous la présidence du Premier Ministre, une riposte graduée sera engagée. » Pris au mot de ses précédentes déclarations, Bruno Retailleau a engagé sa place au gouvernement s’il s’avérait qu’il soit lâché par le premier ministre François Bayrou. Partira ou partira pas ? Nous en parlons avec Paul-François Paoli et Christophe Boutin.

À ma droite, le gouvernement de Donald Trump, Elon Musk en tête, la ministre de la Justice Pam Bondi et le patron du FBI, Kash Patel ; à ma gauche, l'ultra-démocrate bureaucratie fédérale.

Eloignés des responsabilités nationales et des décisions qui fâchent, les personnalités politiques jouissent toujours d’un surcroit de popularité. Ainsi, Edouard Philippe est un gagnant régulier des « sondages ». Il faut dire que l’édile havrais est au « centre du centre » de la vie politique, s’employant à ne jamais trop fâcher les Français par des déclarations abruptes. Mais, cela a aussi un prix. L’ancien Premier ministre figure, comme son mentor de jeunesse Alain Juppé, dans cette fragile catégorie des hommes politiques qui ne déplaisent point trop aux masses mais qui ne suscitent aussi qu’une adhésion mesurée.

Plus de services publics mais moins d'impôts, rapport à l'immigration ou au conflit ukrainien... Sur bien des questions les Français peuvent sembler tout à la fois plus raisonnables que leurs représentants. Pourtant, leurs aspirations sont parfois contradictoires. Explications.

Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez vont-ils pouvoir rompre avec le macronisme et chasser les procès en mollesse tout en restant dans la nuance ?

Au nom du domaine réservé qui serait celui du Président de la République en matière de défense et de politique étrangère, l'Elysée semble écarter sans ménagement le gouvernement sur certains aspects de la gestion des affaires géopolitiques.

Le problème, c'est que trop de dirigeants occidentaux ne croient pas aux nations qu'ils gouvernent.

Dans son allocution télévisée, schémas et croquis à l’appui, Emmanuel Macron a appelé à tirer les conséquences du lâchage de l’Ukraine par les Etats-Unis et « face à la menace russe qui touche des pays d’Europe ». Pour réarmer la France et l’Europe, le chef de l’Etat a annoncé des « décisions sans précédent », de « nouveaux choix budgétaires et des investissements supplémentaires, désormais indispensables, ainsi que l’ouverture du « débat stratégique sur la protection par notre dissuasion de nos alliés du continent européen » car, explique-t-il, « nous entrons dans une « nouvelle ère ».

Le spectacle offert par la valse des provocations de Donald Trump comme de ses soutiens tend à sidérer une partie des élites européennes. Mais qui aura le courage de regarder en face les échecs qui nous ont menés dans la situation actuelle ?

Economie, affaires étrangères ... mais où en est le Rassemblement National ?

Il faudra d'autres chocs comme celui que Trump et Vance ont délivré depuis le bureau ovale pour réveiller les dirigeants européens de leur rêve, qui est devenu un cauchemar pour tant d'Européens ordinaires.

Chaque année, The Economist Intelligence Unit (EIU) « mesure » l’état de la démocratie dans le monde en fonction de cinq critères. En 2024, la France se situe à la 26ème place du classement.

Des chercheurs ont étudié les stratégies des dirigeants politiques et analysé leur leadership.

La droite n’aura guère de chance en Allemagne si les tendances démographiques continuent d’être façonnées par l’immigration de masse.