L’énergie a toujours joué un rôle fondamental dans la vie des nations.

Le député DR de la Loire, Antoine Vermorel-Marques, a annoncé dans une interview au JDD hier l’initiative d’une proposition de loi interdisant l’importation de produits non conformes dans le cadre de la niche parlementaire de son groupe le 6 février prochain.

Qu’on l’aime, ou pas, Donald Trump aura marqué l’année qui s’achève avec le retour politique le plus spectaculaire qui soit !

Le site du quotidien britannique The Telegraph publiait le 14 décembre dernier un article intitulé « Le nombre de civils tués à Gaza a été gonflé pour diffamer Israël ».

L’année 2025 s’annonce comme un tournant majeur dans la géopolitique de l’énergie, caractérisé par un regain de fierté assumée envers les énergies conventionnelles et un ralentissement des ambitions climatiques mondiales. Ce changement de cap est influencé par le retour de Donald Trump à la présidence des États-Unis et les politiques énergétiques qui en découlent, mais était déjà bien amorcé par d’autres acteurs.

Au-delà de la réussite incontestable des Jeux 2024, la volonté d’inclusion démontrée par ses organisateurs s’est elle-même montrée exclusive vis à vis de tous ceux ne partageant pas exactement les mêmes valeurs

L’année 2024 a été qualifiée dans le monde la super année électorale, puisque, pour la première fois dans l’histoire, plus de 4 milliards de personnes furent appelés à se rendre aux urnes. Grâce à la dissolution, les français s’y sont rendus deux fois pour élire leurs députés européens et nationaux.

Le 20 janvier 2025, jour de l’investiture du Président Donald Trump, verra-t-il les Etats-Unis quitter l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ? Le vaccin contre la poliomyélite ne sera-t-il bientôt plus homologué par la FDA, l’agence américaine chargée des médicaments ? La nourriture ultra-transformée sera-t-elle bannie du pays ? L’interruption volontaire de grossesse sera-t-elle interdite sur l’ensemble du territoire nord-américain ?

Des toxicomanes, épaulés par certains addictologues, revendiquent « leur droit au plaisir et à la liberté ». Posé en ces termes, le raccourci pourrait interpeller ceux qui, fatigués de réfléchir, reçoivent sans ciller les poncifs du moment et qui seraient ainsi prêts à satisfaire ces revendications par la légalisation de toutes les drogues.

Au 1er janvier 2025, la France n’a ni loi de finances pour 2025, ni loi de financement de la sécurité sociale (LFSS).

Les parlementaires français ont récemment souligné avec insistance le retard que la France accuse dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA). Cette critique n’est pas nouvelle, mais elle prend une acuité particulière alors que les technologies conversationnelles, l’apprentissage automatique ou les systèmes de recommandation accélèrent leur expansion mondiale.

C’est le branle-bas de combat dans la classe dirigeante et tous ces démembrements, journalistiques, syndicaux et entrepreneuriaux. Comment ? Des presque factieux, des non-républicains ont osé censurer Michel Barnier. Pis encore, ils voudraient contraindre Emmanuel Macron à la démission qu’ils ne s’y prendraient pas autrement.

La proposition d’Oxfam de taxer massivement l’héritage des ultra-riches (comprendre, les milliardaires) pour financer les retraites est séduisante en apparence, mais elle repose sur des postulats erronés et des solutions irréalistes. Oxfam présente cette mesure comme une initiative morale, en insistant sur une prétendue "justice fiscale". Cette approche repose en réalité sur une vision simpliste de l’économie qui oppose riches et pauvres, sans comprendre la complexité des dynamiques financières à l’œuvre.

Le 7 septembre dernier, le leader de LFI, Jean-Luc Mélenchon, expliquait sa nouvelle stratégie électoraliste en déclarant que son parti devait « mobiliser la jeunesse et les quartiers populaires », ajoutant : « Tout le reste, laissez tomber, on perd notre temps. Là, se trouve la masse des gens qui ont intérêt à une politique de gauche. »

Au printemps dernier, le président Emmanuel Macron affichait sa volonté de réformer le congé parental, son idée étant en fait de le supprimer au profit d’un nouveau « congé de naissance », nettement mieux indemnisé, mais d’une durée de trois mois pour la mère et trois mois pour le père, soit six mois au total au lieu des trois ans actuels.

Le contre-pouvoir est le pendant du « en même temps ». L’immobilisme est à ce prix ! Pour ne pas fâcher ceux que les décisions prises irritent, il suffit de faire en sorte que les formalités de l’application de la décision relèvent d’un labyrinthe, rendant impossible et l’application et le recours.

Le contexte politique national et européen est en plein bouleversement. La majorité introuvable à l’Assemblée nationale, la formation très hypothétique à ce stade d’un gouvernement capable de fixer un cap clair et stable dans le temps et le bouleversement des équilibres politiques au sein du Parlement européen font craindre aux acteurs de la filière bois une instabilité des politiques engagées. Ces bouleversements affecteraient inévitablement les forêts, dont la gestion et les orientations sont encadrées par l’Union européenne et la France.

Dans l’immense galaxie des écrivants — pour reprendre le mot de Rolland Barthe — où se côtoient essayistes, philosophes, publicistes et romanciers, ces derniers nous apprennent plus sur nous-mêmes que tous les autres. Ils se cachent derrière la fiction pour mieux approcher le quotidien, notre quotidien en nous renvoyant le monde tel qu’il est, pas tel qu’on voudrait qu’il fût.

« Habemus Primus Minister ». Contrairement au protocole qui marque l’élection du Pape (toute comparaison étant purement contextuelle), la fumée avait largement envahi le ciel de la politique française bien avant son arrivée.

Le prestigieux Festival Visa pour l’Image, qui se tient à Perpignan jusqu’au 15 septembre, rassemble chaque année les plus grands photojournalistes de la planète. L’édition 2024 consacre une exposition au célèbre photographe franco-iranien Alfred Yaghobzadeh, qui travaille pour les plus grands magazines de la planète, de Time à Paris Match.