«Des gens vivent avec la peur» depuis les événements du 7-Octobre 2023, raconte Jean-Sébastien Ferjou, sur CNEWS mardi 12 novembre.

Dès qu'il s'agit de sécurité ; plus encore, dès que ça empire, le personnel politique de la Ve Ré­publique a pour réflexe, pour automatisme, de se ruer à Marseille pour y annoncer que c'en est assez - et que ce coup-ci, on va voir ce que l'on va voir.

Supprimer un férié tombant le même jour qu’une grève des cheminots serait l’option idéale.

Match France-Israël : confier l’organisation de la 3e mi-temps à la Fi permettrait de distinguer les sionistes des juifs ordinaires avant de les tabasser.

Nicolas Daragon : «Le dispositif de sécurité sera comparable à celui des Jeux Olympiques».

Manifestement, les appels à l’Intifada dans les rues de Paris ont été entendus jusqu’en Hollande.

Au travail, où dans de nombreuses entreprises les réunions s’enchaînent sans pause, toute la journée ou presque.

Contre toute attente, et en dépit d'un discours médiatique très souvent teinté de pessimisme, les Français manifestent une confiance très profonde dans l’innovation.

Retailleau dit qu’il faut craindre une mexicanisation du pays. C’est possible, mais sa canadianisation rampante est tout aussi préoccupante.

Anthony Delon partage ses souvenirs des funérailles de son père, Alain, qui ont eu lieu en août dernier. «Cela s’est passé comme il le désirait, sans images», selon lui.

Au strict minimum avéré, 22 victimes vulnérables sont ainsi chaque jour dé­pouillées "par ruse" ; tout décompté honnêtement, on devait approcher les cent par jour. Et pour l'essentiel, l'État-Macron s'en désintéresse.

Plusieurs fusillades, notamment à Valence ou Poitiers, ont éclaté en ce début de mois de novembre un peu partout en France. Des tentatives d’homicides souvent liées au trafic de stupéfiants.

L’ensauvagement urbain est moins dérangeant et anxiogène à Paris ou à Marseille qu’à Poitiers ou à Avignon, où il n’y a plus de secteurs préservés.

Bruno Retailleau en déplacement à Rennes répond à la détresse des habitants : «Quand c'est la loi de la jungle, celui qui trinque c'est le plus faible».

La cherté de la vie en Martinique est un problème persistant, dont les causes sont souvent mal identifiées : ce n’est pas des marges de la grande distribution dont souffre le pouvoir d’achat de la population, mais de l’éloignement et de l’insularité. Aucune fatalité pour autant : une volonté politique forte, conjuguée à l'engagement des acteurs économiques, pourrait permettre de relever ce défi complexe.

Selon Sciences Po, quatre étudiants avaient «été identifiés comme ayant participé à une action» propalestinienne au cours de laquelle «du matériel a été dégradé notamment» sur les stands de quatre entreprises.

Le Service national universel vient de s’éteindre et tout le monde s’en contrefiche. Sans doute parce que ça coûtait cher sans servir à grand-chose.

Les Verts et leurs faux-nez, les ONG environnementales, mènent depuis une décennie un combat frontal contre l’élevage bovin au nom des émissions de méthane des ruminants, gaz à effet de serre plus puissant que le CO2.

Des recherches récentes sur le comportement des animaux en matière de sommeil ont révélé que le sommeil est influencé par les animaux qui les entourent.

La spécificité des géobiologues est d'invoquer tout un tas de concepts bullshits ésotériques à base de champs énergétiques mystérieux qu'eux seuls seraient en mesure de capter. Or certains organismes et services d’État légitiment ces pratiques ésotériques lunaires.