Contenus en rapport avec le mot-clé ZFE

Très demandée par les agriculteurs, la Loi Duplomb devait enfin permettre aux producteurs français de jouer à armes égales avec leurs concurrents des pays voisins. Las, le Conseil Constitutionnel a décidé de suivre l’inepte principe de précaution, s’enfermant dans un juridisme autiste. Introduit en 1995 pour protéger l’environnement et la santé, le principe de précaution a pris valeur constitutionnelle depuis que la Charte de l’environnement a intégré le bloc de constitutionnalité. Il est aujourd’hui dévoyé et devient un boulet pour notre économie.

Dans une interview en marge du sommet des Nations-Unies, le président de la République a exprimé son mécontentement de voir sa politique « environnementale » détricotée par le Parlement.

En marge de la Conférence des Nations Unies sur l'océan de Nice, le chef de l'État a dénoncé les critiques à son égard sur ses mesures de protection de l’environnement qui ont été récemment annulées. Emmanuel Macron a rejeté la faute sur les partis politiques de l’opposition.

Les députés ont voté mercredi pour la suppression des zones à faibles émissions.

Des solutions moins pénalisantes socialement mais tout aussi efficaces en termes de santé publique et d’environnement existent.

La gestion de la crise des ZFE atteste de l’inaptitude de certaines élites à comprendre le monde tel qu’il est vécu par une grande majorité des citoyens.

François de Rugy et Laurent Lesage viennent de lancer sur Youtube son média « Et si l’écologie sauvait l’économie ? ». Ils se sont notamment donnés pour objectif de dévoiler la désinformation scientifique d’une partie des ONG qui se disent écologistes.

Pour la ministre de la Transition écologique, les moins riches n’ayant généralement pas les moyens d’avoir une voiture, ils seront les moins affectés par la mise en place des Zones à faibles émissions.

La pollution de l’air est responsable de 40.000 décès prématurés chaque année en France, affirme la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher. Info ou intox ?

La suppression des Zones à faibles émissions réjouirait les ménages modestes mais priverait la France de 3 milliards de subventions européennes.

Alexandre Jardin publie le livre Les #Gueux, dans lequel il fait le récit de son combat contre les ZFE, qu’il décrit notamment comme des outils d’exclusion sociale. Il y développe aussi l’idée que la bureaucratie française et le mépris de nos élites engendrent ce type de politique. Explications. 

Des députés chargés d’étudier le projet de loi de « simplification » ont voté contre les ZFE. Le texte va devoir être voté à l’Assemblée nationale.

Le nouveau « plan thermostat » entrera en vigueur d'ici le 1er janvier 2027. Tout propriétaire, particulier et entreprise, qui dispose d’un système de chauffage individuel ou collectif, devra obligatoirement installer un thermostat programmable. Après les ZFE, cette nouvelle norme va impacter 27 millions de logements.

Et aussi à la Une de vos hebdos cette semaine : Le Point fait l’état des lieux des troupes européennes, tandis que L’Express fait l’addition. Tout ça à cause du Mad in Usa, explique le Nouvel Obs. En attendant la guerre, un nouveau scandale de l’eau apparaît : celui de l’amiante. Ouf, Macron a tout de même le temps de s’occuper du Louvre ! 

ZFE, ZTL, voies réservées sur le périphérique... Le discours habituel se trompe : le total des voitures, camions et 2 roues motorisés ne compte que pour 16% des émissions annuelles de particules fines (PM2.5)

L’écrivain Alexandre Jardin a fondé un mouvement citoyen baptisé « les gueux » dont l’objet principal est de dénoncer les effets de ségrégation sociale qu’imposent les ZFE.

Alors qu'une Zone à Trafic Limité (ZTL) vient d'être mise en œuvre à Paris Centre, l'impact de ces zones semble délicat, ce qui est le cas à Madrid.

Après avoir tenté d’imposer les zones de faible émission dans les principales villes françaises, en y bannissant l’entrée des véhicules les plus polluants d’ici 2025, les mairies font machine arrière les unes après les autres.

Entretien avec Jean-Baptiste Blanc, le sénateur LR du Vaucluse qui travaille sur le dispositif ZAN.

La présidente de la région Île-de-France demande un nouveau report de 18 mois, pour les particuliers, de l'interdiction de circulation des véhicules classés Crit'Air 3.