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Plutôt que de répondre aux fractures sociales par toujours plus de prélèvements, la droite - libérale - pourrait retrouver une ambition économique et sociale en réconciliant le capital et le travail.

L’inquiétude face à l’intelligence artificielle n’est plus un simple fantasme technologique. Une étude du cabinet LHH, filiale du groupe Adecco, révèle que près d’une entreprise sur deux (46 %) a déjà réduit ses effectifs en raison de l’IA. Et plus de la moitié (54 %) prévoient de le faire dans les cinq prochaines années. Une mutation profonde du monde du travail est en marche — mais que beaucoup de salariés semblent encore sous-estimer.

L'idéalisme vert s'est transformé en suicide industriel. L'Europe en paie le prix, tandis que Tesla et la Chine en récoltent les fruits.

Face à une scène internationale en pleine recomposition et des enjeux cruciaux pour la France, Emmanuel Macron enchaîne faux pas et décisions contestées, tant sur le plan diplomatique qu’économique. Le président français semble accumuler les échecs, pendant que d'autres, à commencer par Donald Trump, imposent leurs méthodes.

Le désordre politique alimente l’incertitude, et les milieux d’affaires détestent le manque de visibilité. Dès lundi matin, les bourses européennes ont sanctionné le blocage politique à Paris, mais ce sont les banques qui ont craqué les premières.

Depuis des années, je me pose une question qui semble défier le bon sens : si les marchés boursiers battent des records et que l’innovation technologique semble infinie, pourquoi les entreprises n’investissent-elles pas davantage dans de nouveaux projets ?

Tout se passe comme si le moral des agents économiques était branché sur le climat politique. Plus les incertitudes s’accroissent, plus la conjoncture se tasse. Le monde des affaires commence à trouver que Sébastien Lecornu tourne en rond.

Le Premier ministre ne pourra pas rendre sa copie vendredi, mais il espère proposer une architecture budgétaire visant à obtenir la neutralité du Parti socialiste et du Rassemblement national, avec un soutien du bloc central.

Après avoir sifflé la fin du débat sur la « Zucmania » et autres impôts qui affecteraient les processus de création de richesse, Sébastien Lecornu va aborder la question des dépenses publiques et sociales… mais à sa manière.

Selon une étude de la Banque centrale européenne (BCE), réalisée à partir des données de la Consumer Expectations Survey, près d'un tiers (30%) des personnes interrogées accepteraient une réduction de salaire pour télétravailler.

La taxe Zucman sur les plus-values non réalisées revient, une fois de plus, sur le devant de la scène politique. La perspective, d'une façon générale, de taxer plus amplement les riches (que d'aucuns appellent parfois "ultra-riches") s'installe durablement.

Tout va mal… la croissance économique décroche et, pire, la pression politique et sociale va obliger Emmanuel Macron à accepter que son nouveau Premier ministre abandonne les fondamentaux de sa politique d’offre, donc plus d’impôts et plus de dépenses publiques. On repart à zéro.

Ardent defenseur de la « taxe Zucman », le président Fi de la Commission des finances au Parlement semble n’en maîtriser ni le mécanisme ni les conséquences possibles. C’est inquiétant et rigolo à la fois.

Tesla propose un plan de rémunération inédit pour Elon Musk, conditionné à des objectifs colossaux et évalué à 1 000 milliards de dollars. Un pari hors norme qui interroge la place des visionnaires dans le capitalisme contemporain.

Les entreprises françaises résistent mieux que prévu à la crise politique, mais les signaux de fragilité s’accumulent, du crédit interentreprises aux projets d’investissement.

Les économistes de l’administration Trump mettent en lumière une donnée fédérale peu remarquée qui, selon eux, montre qu’une forte augmentation des investissements des entreprises est en cours – ce qui pourrait avoir des conséquences durables sur la croissance américaine.

Les résultats trimestriels, très attendus, correspondent aux incertitudes de l’économie mondiale où tous les acteurs attendent d’y voir clair, mais le secteur bancaire profite de la gestion compliquée des endettements publics et notamment de la volatilité imprimée par l’agitation de Donald Trump.

Considérées comme étant trop coûteuses, les ruptures conventionnelles sont dans le viseur du gouvernement Bayrou. Pour réduire les dépenses, le ministère du Travail envisage de restreindre son accès ou de réduire les indemnités.

Les mesures économiques du président argentin Javier Milei ont transformé le pays. L’inflation et la pauvreté ont drastiquement reculé et l'Argentine a équilibré ses comptes publics grâce à de vastes réformes structurelles.

Loïk Le Floch-Prigent, décédé à l’âge de 81 ans, laisse une trace profonde dans le paysage industriel et intellectuel français.