Marcus Goldman est formel : « Je suis convaincu que la banque Goldman Sachs travaille pour le bien commun, ce qui ne me semble pas être la préoccupation de Donald Trump, le président américain a tout faux . Il sera arrêté . »
il y a 9 heuresLe Réseau Atlantico
Best-Of du 2 au 8 août
Jean-Marc Sylvestre a été en charge de l'information économique sur TF1 et LCI jusqu'en 2010 puis sur i>TÉLÉ.
Aujourd'hui éditorialiste sur Atlantico.fr, il présente également une émission sur la chaîne BFM Business.
Marcus Goldman est formel : « Je suis convaincu que la banque Goldman Sachs travaille pour le bien commun, ce qui ne me semble pas être la préoccupation de Donald Trump, le président américain a tout faux . Il sera arrêté . »
“J’ai été élu en 1848 , puis j’ai pris la France en ruine .. Victor Hugo ne me l’a jamais pardonné ... mais j’ai pris la France en ruine en 1848 et j’en ai fait, moi, une des plus grandes puissances économiques du monde... Les faiseurs de guerre ont tout détruit… Mais les concepts de croissance n’ont pas changé”
« Le colbertisme, ça n’était pas un capitalisme d’état comme le croit encore les socialistes français…. Je crois avoir appris à l’Etat à travailler avec les chefs d’entreprise qui sont les vrais créateurs de richesse… »
Après avoir engagé la chasse aux fraudes fiscales et sociales, le gouvernement s’attaque sérieusement aux entreprises qui dépassent les délais de paiement. Personne n’en parle beaucoup, mais tous les chefs d’entreprise y pensent. Quand la morale et la justice viennent au secours du business et de l’équilibre budgétaire…
La France s’asphyxie en glorifiant l’État nounou pour les uns, l’État providence pour les autres et en oublie les leçons du Marché. Les Français ne savent pas que c’est Frédéric Bastiat qui a fondé les bases d’un système économique plus efficace… Comment le savoir puisqu’on ne l’apprend pas à l’école.
La France n’a jamais aimé le libéralisme et les libéraux. Hormis sous Napoléon III pendant quelques années, la France ne se s’est jamais soignée au libéralisme. C’est un vrai problème à l’heure où les outils d’une politique libérale : responsabilité individuelle, concurrence, propriété des fruits du travails paraissent les plus efficace pour créer de la richesse et retrouver la prospérité.
Alors que la collecte d’épargne bat tous les records depuis l’année dernière, la grande majorité des clients du Livret A n’acceptent pas la baisse des taux d’intérêt et cherchent un placement plus dynamique et plus rémunérateur.
Le projet de loi préparé par Catherine Vautrin pour lutter contre la fraude sociale est attendu par la majorité de l’opinion, mais ne plaît pas aux partis de gauche. Ce projet va pourtant constituer un test majeur sur la capacité de la gauche à gouverner.
En tuant le libre-échange, Donald Trump a sans doute asphyxié les facteurs de croissance économique. Jamais dans l’histoire du monde on n’a vu un protectionnisme triompher durablement de la décroissance, de la violence ,de la guerre., etc.
Tout le monde ment : l’annonce d’un accord entre l’Union européenne et les États-Unis a provoqué un débat assez violent entre responsables politiques et la Commission de Bruxelles, où les différents protagonistes ne disent pas la vérité. Ça se sent et ça se voit. D’où cet incroyable imbroglio juridique, économique et politique.
Plus de la moitié des français a tendance à mentir sur leurs vacances, leurs destinations, les hôtels, les rencontres... c’est toujours plus beau, le plus douloureux c’est qu’un tiers sont obligés de se les payer à crédit.
L’accord surprise entre les États-Unis et l’Union européenne sur les droits de douane provoque une vague de réactions confuses et contradictoires, entre soulagement boursier et indignation politique.
Il faut relire Machiavel mais de là à le comparer à Donald Trump.. Quelle erreur , Machiavel était beaucoup plus intelligent et efficace que l’actuel président Américain . Si Trump avait lu Machiavel, il conclurait ses fameux deals sans créer autant de désordre et d’incertitude.
Les résultats trimestriels, très attendus, correspondent aux incertitudes de l’économie mondiale où tous les acteurs attendent d’y voir clair, mais le secteur bancaire profite de la gestion compliquée des endettements publics et notamment de la volatilité imprimée par l’agitation de Donald Trump.
En cas de blocage du fonctionnement des administrations publiques faute de financement, les initiatives privées et libérales pourraient offrir des solutions alternatives dans la santé, l’éducation, l’assurance retraite, l’assurance maladie et même dans le commerce international.
Désabusés, découragés… Près de 70 % des salariés en France, en Allemagne, en Italie et en Espagne ont perdu confiance dans leurs conditions de travail. Ils ne croient plus qu’un travail acharné de salarié leur permettent d’atteindre la sécurité financière et même l’ascenseur social.
La France s’asphyxie et en oublie les leçons de Frederic Bastiat. « Le but d’un système économique est d’apporter la prospérité au plus grand nombre. Le moyen d’y parvenir c’est la liberté laissée à l’individu, de s’organiser ».
Si John Maynard Keynes revenait aux affaires aujourd’hui, est-ce qu’il aurait l’honnêteté de reconnaître que les démocrates ont usé et abusé de ses prescriptions au point de se fracasser contre le mur de la dette ? Une interview exclusive.
« À l’âge que j’ai, je peux prendre des risques », aurait-il dit à un de ses proches. Le Premier ministre s’est fixé deux objectifs pour éviter de coaguler les colères politiques : d’abord éviter le krach financier qui s’annonce, et préparer une modernisation des finances publiques pour le prochain président de la République.
En faisant ses annonces sur le budget 2026, François Bayrou est sans doute le plus lucide de nos responsables politiques sur le risque qui pèse sur la dette française.