Contenus en rapport avec le mot-clé Elon Musk

Les excès, approximations, voire mensonges, du président Américain et des piliers de son administration pourraient-ils empêcher qu’il se forge un héritage aussi puissant que celui qu’avait su construire Ronald Reagan ?

Grok3 est arrivé. Grok c’est le nom de l’IA développée par Musk et ses équipes au sein de xAI, sa 6e et plus récente entreprise.

Le but de cet assistant dopé à l’intelligence artificielle est d’aider la Commission pour l'efficacité gouvernementale (Doge) à identifier les dépenses inutiles. Avec des réponses parfois totalement incohérentes.

Quand il a repris Twitter (rebaptisé X depuis), Elon Musk a mis à la porte 80% des effectifs. Tout le monde prédisait la catastrophe et pourtant la plateforme a continué de tourner sans bugs majeurs.

L’historien Johann Chapoutot vient de publier « Les irresponsables : Qui a porté Hitler au pouvoir ? ». Selon lui, « les extrêmes droites ont toujours été mises au pouvoir par des libéraux ».

Lors d'une conférence de presse au bureau ovale, Elon Musk, accompagné de son fils, a évoqué des coupes budgétaires massives.

Le fondateur de Free a critiqué la personnalité d'Elon Musk qui lui a répondu sur son réseau social X en lui rappelant ses ennuis judiciaires passés.

D’après le Wall Street Journal, le consortium créé par le patron de Tesla et X aurait formulé son offre lundi au conseil d’administration d’OpenAI qui l’a refusée.

Musk a commencé à frapper. Fort. Comme prévu. Le télétravail chez les agents administratifs, la fête permanente qui conduit à une baisse énorme de productivité, c’est fini. Pour tous ceux qui, à titre d’exemple, attendent le traitement de leur visa ou de leur carte verte et à qui on annonce depuis l’avènement du télétravail, que leur délai d’attente sera à minima de 2 ans, la menace sonnera comme un signe d’espoir. Ils vont se remettre au boulot !

Nommé à la tête d'un ministère nouvellement créé de l'"efficacité gouvernementale" (DOGE), Elon Musk souhaite réduire la dépense publique fédérale d'au moins 1.000 milliards de dollars.

Alors que de plus en plus d’utilisateurs quittent le réseau social X pour rejoindre Bluesky ou Mastodon, la plateforme HelloQuitteX permet de conserver et de transférer une partie de ses abonnés. Cette opération soulève beaucoup de questions notamment sur le traitement des données personnelles récoltées.

Parmi toutes les choses que le retour de Donald Trump à la présidence des États-Unis pourrait signifier, l'une d'entre elles est que le projet d'Elon Musk d'utiliser des fusées Starship pour des vols longue distance sur Terre pourrait aller de l'avant. Baptisé Starship Earth to Earth, ce projet consisterait à transporter des passagers par fusée entre deux villes. Ils quitteraient brièvement l'atmosphère de la planète pendant le voyage avant de redescendre pour atteindre leur destination.

Les électeurs européens verront-ils clair dans l'étiquetage malveillant de tous ceux qui s'opposent aux politiques de gauche en les qualifiant de « nazis 2.0 » ?

Un magnifique contraste éclaire le monde ces derniers jours. D’un côté, les parangons de l’éthique, des « valeurs » (nous cherchons encore lesquelles), d’une autre voie, à priori, vu la tournure des choses, on doit parler de la voie de garage…. De l’autre, l’outrance, l’ambition, la rapidité, une volonté quasi indécente de régner sur le monde, d’en devenir le seul propriétaire ou au moins l’un des deux principaux. D’un côté, la tête d’enterrement de ceux qui ont renoncé, de l’autre le regard triomphant de ceux qui savent et veulent.

La première guerre froide a été remportée grâce à la supériorité économique et technologique. Donald Trump et les Etats-Unis seront-ils en mesure de rivaliser avec la Chine de Xi Jinping, notamment dans le domaine de l’intelligence artificielle ?

Elon Musk a réitéré son soutien au parti de l'Alternative pour l'Allemagne (AfD) lors d'un meeting ce samedi 25 janvier.

Le nouveau président des Etats-Unis a dû se mettre à l’abri du froid de Washington, mais ce sont les anciennes élites de Davos qui ont fait face au froid politique.

Lors du forum économique de Davos, Pedro Sanchez a proposé trois mesures pour réguler les réseaux sociaux. Le Premier ministre espagnol souhaite mettre fin à l’anonymat en ligne, ouvrir « la boîte noire des algorithmes » et rendre les PDG des réseaux sociaux « personnellement responsables du non-respect des lois ».

A la Une de vos hebdos cette semaine : du brutal : Le Point surfe sur la vague Trump/Musk, alors on est content de lire dans L’Express qu’il y a une nouvelle bromance au sommet de l’Etat français aussi : Valls et Retailleau s’aiment ! L’Express fait le combo gagnant : sa Une porte sur Bruno Retailleau, et sur l’Algérie. Qui fait elle aussi celle de Marianne. On y lira la chronologie des des coups tordus de Tebboune, mais aussi les prises de parole d’opposants, et comment le pays est “au bord de l’explosion.”

Un mouvement de désertion massive du réseau social X est apparu avec l’arrivée au pouvoir de Donald Trump et suite aux prises de position d’Elon Musk.