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Le président de la CDU et probable futur chancelier allemand, Friedrich Merz, est en passe de remporter les élections anticipées du 23 février.

Le même média avait publié des informations fausses -et depuis reconnues comme telles par les tribunaux- sur l’AfD.

Le vote conjoint CDU / AfD d’une résolution visant à restreindre drastiquement l’immigration préfigure-t-il une rupture de l’histoire allemande depuis 1945 ?

Le meurtre d'un enfant de deux ans et d'un homme de 41 ans dans la ville bavaroise d'Aschaffenburg par un migrant afghan a relancé le débat sur l'échec des politiques d'immigration des derniers gouvernements allemands.

Avec son « pare-feu » contre l’AfD, la CDU s’accroche obstinément à une coalition de gauche perdante.

Les partis allemands ont engagé des discussions pour durcir la législation sur l’immigration après le double choc provoqué par l’attaque au couteau de Sollingen et par les résultats des élections régionales. Sans parvenir à trouver un accord.

Dans certains landers, le parti d’extrême-droite est donné par les sondages à plus de 30%.

Le patron de la CDU, Friedrich Merz, semblait prêt à une alliance avec le parti AfD au niveau local, avant de se rétracter après de vives critiques.

Joachim Paul, ancien membre du comité exécutif fédéral de l'AfD, a donné une interview à The European Conservative pour mieux faire comprendre les raisons de la montée de ce parti. Nous publions ici l'intégralité de cet entretien.

Au regard des sondages, il semble impossible de construire une future coalition sans alliance entre le SPD et la CDU CSU, or ni l’un ni l’autre ne le souhaite. De quoi rendre envisageable le recours au parti d’extrême-droite pour sortir du blocage ?

Si la candidate des Républicains tire à peu près son épingle du jeu dans les sondages, c’est quasi exclusivement grâce aux catégories les plus âgées.

Un accord a été trouvé en Allemagne en vue de la formation d'un gouvernement de coalition. Le contrat entre les trois partis a permis de définir les principales réformes que le nouveau gouvernement va mettre en œuvre. Quelles seront les conséquences pour la France ?

L’Allemagne va connaître une nouvelle ère politique sous la chancellerie d’Olaf Scholz. Un accord a été trouvé en Allemagne entre les Verts, le parti libéral et le SPD en vue de la formation d'un gouvernement de coalition.

Un accord a été trouvé en Allemagne en vue de la formation d'un gouvernement de coalition. Les libéraux ont obtenu le ministère des Finances alors que les Verts héritent des ministères des Affaires étrangères et de la Protection du climat. Olaf Scholz va succéder à Angela Merkel.

Les électeurs allemands les plus jeunes tournent le dos aux grands partis établis

Le parti social-démocrate (SPD) d'Olaf Scholz a légèrement devancé les chrétiens-démocrates (CDU-CSU) d'Armin Laschet dans le cadre des élections en Allemagne, d'après des résultats provisoires annoncés ce lundi 27 septembre.

Le succès d’Angela Merkel, sa longévité et ses résultats font l’envie de tous les dirigeants occidentaux. Après 16 années de règne, la Chancelière a hissé l’Allemagne en tête de la classe occidentale sans jamais parler politique, ce qui ne l’a pas empêchée de résorber les problèmes.

L’implosion de la classe politique allemande rend difficile le pronostic électoral pour le 26 septembre.

Obsédée par la lutte contre les inégalités au point d’en venir à oublier la nécessité de l’innovation et de la prise de risque entrepreneuriale, une telle coalition serait un terrible poids pour la zone euro dont l’Allemagne demeure la principale locomotive économique. Répartition de richesse oui, mais il faut aussi de la création de richesse.

L’Union européenne compte beaucoup sur la participation financière allemande. Le prochain chancelier pourra-t-il continuer à payer pour l’Europe, notamment au regard de sa faible marge de manœuvre budgétaire ? A quoi peut-on s’attendre pour l’Europe après le départ d’Angela Merkel de la chancellerie ?