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Dans le chaos économique et financier mondial , Donald Trump se serait fixé deux lignes rouges à ne pas franchir : L’union européenne d’un coté et le marché obligataire de l’autre.

Souvent désignée comme la grande tricheuse du commerce international, la Chine est au cœur d’un débat passionné entre stratégie industrielle et respect des règles. Entre fantasmes occidentaux, protectionnisme déguisé et performances économiques impressionnantes, que disent vraiment les faits ? Deux visions s'affrontent.

Le retour du protectionnisme marque-t-il la fin de la mondialisation ? Alors que Donald Trump applique ce qu’il avait promis, le débat s’enflamme entre économistes et commentateurs. Pourtant, dans un monde où les règles du jeu ont été largement faussées depuis des décennies, peut-on encore parler de libre-échange au sens ricardien du terme ? Cet article remet en perspective les fondements économiques souvent invoqués, pour mieux comprendre la transition d’un monde impérial à une ère de repli national assumé.

Loin des psychodrames politiques et des discours de chefs d'État, les patrons d’entreprise européens ont les yeux rivés sur trois dossiers qui vont déterminer leur activité en 2025/2026 : les droits de douane, le prix de l’énergie et la nouvelle stratégie allemande sur la dette publique.

Le spectacle offert par la valse des provocations de Donald Trump comme de ses soutiens tend à sidérer une partie des élites européennes. Mais qui aura le courage de regarder en face les échecs qui nous ont menés dans la situation actuelle ?

Oui, le libre-échange a eu un impact négatif majeur dans la vie de certains pendant la phase de mondialisation de l’économie (tout en apportant des bénéfices collectifs) et nous l’avons sous-estimé. Mais inverser la tendance aura tout autant d’impact perturbateur, sans apporter les bénéfices du progrès.

Les participants au forum mondial de Davos n’avaient pas prévu le retour au pouvoir de Donald Trump, et surtout ce que Trump peut changer dans le fonctionnement de la mondialisation.

La rivalité entre Washington et Pékin exerce une pression intense sur le commerce mondial.

10 000 milliards, c’est le montant envisagé par l’Europe pour un éventuel méga plan de relance de nature à contre-balancer les effets de celui déployé par Joe Biden aux États-Unis. 

Mozart est à l’affiche de tous les grands festivals de musique organisés cet été. Comme chaque année, Mozart sera encore le compositeur le plus joué, le plus écouté... Ce succès mondial dure depuis deux siècles et demi…  Il y a bien une raison. C’est cette raison que nous avons voulu découvrir parce qu’à l’époque de la mondialisation elle est exemplaire. Un entretien imaginé et réalisé par Jean Marc Sylvestre.

Accusée d'être la mauvaise élève de l'Europe en matière budgétaire et économique, plusieurs critères peuvent expliquer les difficultés de l'Italie par rapport à ses principaux partenaires de la zone euro.

La mondialisation libérale semble menacée par le recul du libéralisme partout dans le monde. Une mondialisation que les plus critiques regretteront lorsqu’elle aura disparu.

Du 15 au 19 janvier, à Davos, plus de 2 800 participants venant de 120 pays sont attendus, dont plus de 60 chefs d’États.

Depuis le début de cette décennie, la mondialisation a changé de paradigme. Un nouvel équilibre est en train d’émerger.

La fin de l’histoire et l’avènement d’un « nouvel ordre mondial », structuré autour de la puissance américaine, ne sont plus à l’ordre du jour en 2023.

Alors que partout dans le monde, les risques de crises mondiales liées à des conflits de civilisation se manifestent, on s'aperçoit que le dialogue pragmatique pour relancer les échanges commerciaux et financiers n'a jamais été rompu. La réalité des affaires l'emporte sur l'hystérie des forces géopolitiques fondées sur les religions ou les cultures.

Alors que le président chinois a entamé une visite officielle aux Etats-Unis, la trajectoire de la Chine s’écarte des objectifs qui paraissaient à sa portée pendant le Covid.

Alexandre Del Valle et Jacques Soppelsa publient « Vers un choc global ? La Mondialisation dangereuse ». Avec la guerre en Ukraine qui s’installe dans le temps long et la présence de la Chine dans tous les domaines de l’économie, le monde entre dans une nouvelle phase géopolitique après les trente ans de domination américaine qui ont marqué l’effondrement de l’Union soviétique. Extrait 2/2.

Julien Aubert, fondateur du mouvement Oser la France, se confie à Atlantico avant les rencontres de la souveraineté organisées ce week-end.

Le laboratoire interdisciplinaire d’évaluation des politiques publiques de Sciences Po décrit en collaboration avec Le Monde la précarisation de la partie basse des « classes moyennes ». Et conclut à la faute de la libéralisation du marché.