Contenus en rapport avec le mot-clé souveraineté

Depuis janvier, un vent d’optimisme souffle sur l’Europe en matière d’intelligence artificielle. L’irruption de DeepSeek et les succès de Mistral AI ont bouleversé les certitudes : contrairement aux idées reçues, entraîner un modèle d’IA génératif ne coûterait pas aussi cher qu’on l’avait longtemps imaginé. Très vite, un récit s’est imposé : l’Europe pourrait désormais développer ses propres modèles d’IA et rivaliser avec OpenAI, Google ou Anthropic.

L’Europe a laissé passer le train de l’IA générative. Tandis que les États-Unis et la Chine se sont imposés avec OpenAI, DeepMind ou Baidu, le Vieux Continent peine à exister dans cette révolution technologique. Pourtant, cet échec apparent pourrait bien ouvrir une opportunité stratégique majeure : celle de l’IA industrielle.

Sanofi a précisé que la valorisation d’Opella est basée sur une valeur d’entreprise d’environ 16 milliards d’euros.

Cette offre vise à éviter que ces activités, qui touchent à la souveraineté de la France, tombent entre les mains d'acteurs étrangers.

La France, championne d’Europe des investissements étrangers, c’est plutôt un bon signe, mais quand nos politiques font campagne pour protéger la souveraineté, ça peut paraître incompatible. À moins que nos politiques ne disent n’importe quoi…c’est possible !

Face aux difficultés financières du géant français de l'informatique Atos, le ministre de l’économie a fait savoir qu’il avait envoyé une lettre dans le but d’acquérir les activités principales du groupe.

Le président d’EuropaNova, Guillaume Klossa, et une douzaine de personnalités viennent de remettre un rapport à la présidence belge du Conseil de l’UE sur la transformation de l’Union européenne en puissance globale.

Beaucoup voient l’UE comme un obstacle à la souveraineté migratoire de la France mais le Royaume-Uni se débat avec sa propre crise politique sur le sujet. Est-il possible de relever le défi du contrôle des flux migratoires sans remettre en cause la hiérarchie des normes propres à chaque pays ?

Le contrôle, automatique lorsqu’un investisseur non-européen achète 10% ou plus d’un capital, serait étendu, d’après le ministre de l’Économie.

Cette ancienne colonie espagnole est contrôlée en majeure partie par le Maroc, mais est revendiquée par les indépendantistes sahraouis du Front Polisario, soutenus par l'Algérie.

Le salon du Bourget montre que l’industrie aéronautique mondiale est désormais tournée vers des objectifs nouveaux que sont : le respect des contraintes écologiques, la souveraineté et l’éthique des affaires

Invité sur RTL, le ministre de l'économie, Bruno Le Maire, a affirmé que cette prise de contrôle à 100% "va nous permettre de réaliser dans les meilleures conditions possibles le programme de construction de six nouveaux EPR"

Lors de son vol retour de Chine, le chef de l’Etat a insisté sur le fait que les Européens ne devraient pas se penser en suiveurs des États-Unis. Soit. Mais nous donnons-nous les moyens de nos ambitions ?

La guerre en Ukraine porte sur des valeurs universelles (liberté d'opinion, souveraineté, absence d'oppression...) qui doivent être défendues universellement. La victoire de la Russie les remettrait en cause partout dans le monde.

Gaston Crémieux a publié sur Twitter un « Dictionnaire des idées reçues poutinophiles ». Depuis l'arrivée de Vladimir Poutine au Kremlin, le pouvoir russe ment. Ces mensonges n'ont fait que se renforcer avec l'invasion de l'Ukraine. Toute une intelligentsia française relaye et amplifie depuis vingt ans les fake news du Kremlin. Extrait 2/2.

Le mot de 2022, pour la suite

La France a pourtant un président qui ne menace pas ses efforts pour vanter les mérites de l’Union. Comment expliquer cette relative désaffection française ?

La vente à l’américain Heico de la pépite électronique Exxelia, qui équipe notamment le Rafale et l’A320, suscite beaucoup de réactions et d'inquiétudes.

Une récente publication du Center for Economic and Policy Research (CEPR) a dévoilé les résultats de nouvelles recherches universitaires sur les impacts économiques du Brexit, en particulier sur le commerce et l'immigration.

La loi du 30 juillet 2022 a mis fin aux régimes d'exception créés pour lutter contre l'épidémie de Covid-19 et a abrogé, depuis le 1er août 2022, les dispositions relatives à l'état d'urgence sanitaire et à la gestion de la crise sanitaire. Placer ces décisions sous l’égide du « bien commun » a-t-il empêché toute débat de fond sur la justification des atteintes aux libertés ?