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Sur Internet et les réseaux sociaux, il est de plus en plus difficile de ne pas se faire piéger par les deepfakes qui sont de plus en plus sophistiqués.

Le gouvernement britannique a démenti pendant des semaines que le tueur d’enfants de Southport ait pu avoir des motivations djihadistes. Et menacé de poursuites ceux qui émettaient des hypothèses différentes tout en les traitant de complotistes propagateurs de fake news racistes. Axel Rudakubana est pourtant aujourd’hui accusé par la justice d'avoir fabriqué de la ricine (poison mortel) et de s’être inspiré d’un manuel d'Al-Qaida.

Hier, le joueur du Real Madrid a réagi par une publication sur X en établissant un lien entre l’article d’un journal suédois et l’audience qui doit se tenir mardi dans le cadre de l’affaire des 55 millions d’euros de salaires impayés par le PSG que réclame le joueur.

De nombreuses recherches ont été menées sur les types de personnes qui croient aux théories du complot et sur les raisons qui les poussent à le faire. Mais il y a un problème : mes collègues et moi avons découvert qu'un certain nombre de personnes partageant des théories du complot en ligne ne croient pas à leur propre contenu.

De nombreux électeurs sont prêts à accepter la désinformation des dirigeants politiques, même lorsqu'ils savent que les faits sont inexacts.

Depuis l’attaque au couteau à Southport, le 29 juillet dernier au Royaume-Uni, des rumeurs infondées et des vidéos trompeuses ont été diffusées à large échelle sur les réseaux sociaux et ont provoqué une flambée de violences à travers le pays.

Faire remarquer à quelqu'un qu'il a tort fait partie de la vie. Et les journalistes doivent le faire en permanence - leur travail consiste notamment à aider à faire le tri entre ce qui est vrai et ce qui ne l'est pas. Mais qu'en est-il si les gens n'aiment tout simplement pas entendre des corrections ?

Il est important de suivre certains conseils afin de ne pas propager des informations erronées et pour identifier les fakes news sur les réseaux sociaux.

Les élections européennes de ce week-end se jouent dans un contexte géopolitique chargé. Pourtant, aucun acte de désinformation significatif a été détecté pour l'instant, notamment russe, certainement en raison de la soudaineté du scrutin.

Après avoir longuement accusé l’Ukraine, Vladimir Poutine a fini par reconnaître que des « islamistes radicaux » étaient responsables de l'attaque meurtrière de la salle de concert de Moscou.

Et pour les chefs d'État et de gouvernement, ainsi que pour les plus grands patrons venus du monde entier, les risques qui menacent la planète sont la désinformation, l'intelligence artificielle et les conflits géopolitiques.

En utilisant les réseaux sociaux et en publiant une grande quantité de contenus en ligne, la Russie a exploité les failles des démocraties occidentales et imposé un discours différent, destiné à miner la confiance des populations en Occident envers l'Ukraine et le soutien à la guerre.

La guerre de l'information est omniprésente, et tout le monde en ligne a été embrigadé, qu'il le sache ou non.

X (anciennement Twitter) est l'endroit où l'on trouve une multitude de spécialistes de l'OSINT (renseignement de sources ouvertes).

L’Etat d’Israël a été frappé par le Hamas ce samedi 7 octobre 2023. Un certain nombre d’internautes partagent, depuis, des informations qui se sont parfois avérées fausses. Retour sur ce qu’il ne faut surtout pas perdre de vue.

Pour développer la censure, plutôt que de le faire de manière explicite, la meilleure méthode consiste à passer des lois qui reviendront à museler l’expression de certaines opinions qu’on qualifiera commodément de délits ou de crimes.

Le discours médiatique explique que l’Etat doit voler au secours de tous, quoi qu’il en coûte, et définit de façon définitive ce qui peut être dit de ce qui est tabou.

Un rapport établi par Microsoft et des experts en cyber sécurité s’est notamment intéressé aux opérations chinoises visant à exploiter les incendies catastrophiques survenus à Hawaï cet été.

Selon le rapport annuel sur les pratiques d’information en ligne de l’Institut Reuters pour l’année 2023, les résultats indiquent clairement une défiance importante du public envers les médias traditionnels.

Paris accuse Moscou de diffuser de faux articles hostiles à l'Ukraine, prétendument publiés par de grands quotidiens français. Ces opérations s’inscrivent dans un vaste plan d’ingérence numérique mené par la Russie et ciblant la France.