Le fossé se creuse entre l’Europe et les géants américains du Web.

Dans une émission diffusée sur France 5 ce dimanche, Clara Chappaz, la ministre déléguée chargée de l’intelligence artificielle et du numérique, a affirmé que les Français étaient dotés "d'outils qui permettent de s'assurer que les fausses opinions soient sorties des plateformes numériques" avant de se reprendre et de parler de "fausses informations".

Mark Zuckerberg et Elon Musk ont presque accusé l'UE de propager une fake news à travers la réponse de l’UE sur la liberté d'expression et les restrictions liées aux lois européennes.

Parmi ses grands projets de réformes, Donald Trump souhaite restaurer le premier amendement de la Constitution des Etats-Unis. Donald Trump plaide pour la mise à mort de ce qu'il nomme le cartel de la censure, une IA qui orchestrerait la circulation des idées et invisibiliserait certains contenus.

L'informaticien et ingénieur Ray Kurzweil estime que l'intelligence artificielle pourrait permettre une véritable révolution assez inquiétante vis-à-vis des personnes décédées, permettant d'accéder à une forme d'immortalité numérique.

Les algorithmes et l’intelligence artificielle ont souvent été présentés comme des atouts potentiels permettant de renforcer la capacité des régimes autoritaires à contrôler l’information.

Salt Typhoon, un groupe de cybercriminels affiliés à la Chine, vise des organisations du monde entier. Fin novembre, le téléphone personnel du ministre des affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, en a été la cible.

L’article scientifique publié par Aidan Toner-Rodgers, doctorant en économie au MIT, révolutionne le domaine de l’impact de l’intelligence artificielle sur les avancées scientifiques.

En évoquant la responsabilité des pays occidentaux qui ont autorisé l’utilisation de missiles américains et européens sur le sol russe, Vladimir Poutine a affirmé que le conflit avait désormais pris « un caractère mondial ».

Non, l’Amérique de Trump n’est décidément pas isolationniste et compte bien tout autant peser sur notre destin civilisationnel que ce que les démocrates faisaient avec des algorithmes alignés sur des valeurs opposées.

Le gouvernement britannique a démenti pendant des semaines que le tueur d’enfants de Southport ait pu avoir des motivations djihadistes. Et menacé de poursuites ceux qui émettaient des hypothèses différentes tout en les traitant de complotistes propagateurs de fake news racistes. Axel Rudakubana est pourtant aujourd’hui accusé par la justice d'avoir fabriqué de la ricine (poison mortel) et de s’être inspiré d’un manuel d'Al-Qaida.

Des chercheurs estiment avoir découvert un nouvel outil pour lutter contre les théories du complot : les chatbots dotés d’intelligence artificielle.

De plus en plus d’entreprises sont obligées de mettre la clé sous la porte après des attaques informatiques. Les pirates mettent à terre les systèmes de paiement ou les données précieuses des sociétés ciblées.

Pavel Durov était visé par un mandat de recherche en France à cause des nombreux délits qui ont lieu sur la messagerie Telegram. Pavel Durov est accusé de ne pas avoir coopéré avec les autorités de plusieurs pays, dont la France, qui souhaitent modérer les activités sur Telegram.

Pour le titan de la tech propriétaire du réseau social, la plateforme est tout simplement centriste depuis qu’il l’a coupée de ses racines culturelles ancrées dans la gauche de la Silicon Valley.

Depuis l’attaque au couteau à Southport, le 29 juillet dernier au Royaume-Uni, des rumeurs infondées et des vidéos trompeuses ont été diffusées à large échelle sur les réseaux sociaux et ont provoqué une flambée de violences à travers le pays.

Le 23 juillet, Mark Zuckerberg a publié un manifeste exposant les arguments commerciaux en faveur de l'IA open source.

Derrière les algorithmes de l'intelligence artificielle se cachent des biais idéologiques et politiques qui ont de lourdes conséquences au sein de la société.

Le PDG et son équipe ont encouragé les efforts de Meta pour attirer les jeunes utilisateurs et ont trompé le public sur les risques, selon les poursuites engagées par les procureurs généraux des États.

Les élections européennes de ce week-end se jouent dans un contexte géopolitique chargé. Pourtant, aucun acte de désinformation significatif a été détecté pour l'instant, notamment russe, certainement en raison de la soudaineté du scrutin.