Contenus en rapport avec le mot-clé Emmanuel Macron

Le Premier ministre canadien, le chancelier allemand et le président français étaient célébrés comme des héros libéraux. Mais en réalité, leurs politiques et leurs réformes ont été illibérales et impopulaires.

Après la campagne des influenceurs algériens, la France pourrait-elle utiliser des moyens similaires pour informer les Algériens sur la réalité du pouvoir d’Abdelmadjid Tebboune ?

Pour la première fois depuis son élection en 2017, la cote de confiance du président de la République passe sous la barre des 20 et touche un nouveau plus bas.

Olivier Faure tente de faire céder le gouvernement sur la réforme des retraites en contrepartie d’une non-censure. Jean-Luc Mélenchon a critiqué l'attitude de ses partenaires du Nouveau Front populaire.

Aussi à la Une de vos hebdos cette semaine : les journalistes de Marianne sont allés recueillir les brèves de comptoir, pour voir si les préoccupations des Français correspondaient aux sujets abordés dans les médias.

L'instabilité politique a un coût qui rend financièrement rationnelles les concessions sur les objectifs de réduction du déficit budgétaire. Mais jusqu’où ?

Non seulement, certains dirigeants européens semblent-ils prêts à restreindre sévèrement la liberté d’expression mais ils ignorent soigneusement les racines du déclin européen comme celles du mépris affiché par l’administration pour la souveraineté européenne.

Le Sénat offre à son président un fauteuil au prix d’une Tesla. S’il était français, Elon Musk serait doublement mécontent.

Emmanuel Macron a fait référence lors d’une allocution devant les ambassadeurs français au soutien continu du milliardaire américain au parti d’extrême droite allemand Alternative für Deutschland (AfD).

Le bilan de la Macronie en matière de sécurité est terrible. Nous en évo­quons ici les pires éléments et écueils, ceux qui indignent et angoissent les Français.

Et aussi, dans vos hebdos cette semaine : L’empire Dassault à la Une de l’Express, et une intéressante réflexion de la part d’un juriste danois sur les tiraillements que la France connaît entre la liberté et le “contrôle de la dissidence.” Dur d’être Charlie…

L’année 2024 a été qualifiée dans le monde la super année électorale, puisque, pour la première fois dans l’histoire, plus de 4 milliards de personnes furent appelés à se rendre aux urnes. Grâce à la dissolution, les français s’y sont rendus deux fois pour élire leurs députés européens et nationaux.

Le Président de la République a présenté ses vœux en Français dans la soirée de mardi.

Dans ses vœux aux Français, Emmanuel Macron a reconnu l’échec de la dissolution et relancé la piste d'un référendum.

Emmanuel Macron sera-t-il encore président de la République ? Le redressement des finances publiques sera-t-il engagé ? L’IA aura-t-elle franchi en 2025 des étapes bouleversant le monde de la recherche scientifique ? La France aura-t-elle repris le contrôle de sa politique migratoire ? 

En l’absence de mesures fortes, le déficit atteindrait 7% du PIB en 2025. La responsabilité du Président de la République est écrasante.

La reconstruction de Notre-Dame apparaît comme le contrepoint allégorique de nos impuissances actuelles.

Les démocraties en Occident sont marquées depuis 25 ans par une montée du populisme et par une défiance des électeurs à l'égard de la classe politique et des dirigeants.

« Annus horribilis », avait dit de cette année 1992 où les catastrophes s’étaient accumulées sur les Windsor la Reine Élisabeth II. Au moment de tourner la page de 2024, c’est sans doute ce que pourrait dire, non pas Emmanuel Macron, qui, contrairement à la souveraine, aura joué les boutefeux avec une incroyable arrogance, mais tous ceux qui sont attachés à une lecture gaullienne de notre Constitution et à la place éminente de la présidence de la République.

Au cœur de la cathédrale Notre-Dame de Paris, Emmanuel Macron souhaite installer six vitraux contemporains.