L’ADN de Dominique Pélicot avait été identifié dès 2010 dans deux affaires criminelles restées non élucidées. Aucune procédure n’avait été engagée à l’époque. Gérald Darmanin missionne l’Inspection générale de la justice pour déterminer les raisons de cette inaction judiciaire.
2 mai 202501