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Une étude publiée dans la revue de sciences sociales Theory & Society explore le paradoxe de la transparence : si cette dernière est nécessaire pour favoriser la confiance du public dans la science, la médecine ou les politiques publiques, son excès peut également réduire la confiance des citoyens.

Seuls 48% des Français déclarent faire confiance à la justice, un chiffre qui s'est effondré depuis 2008. Ils ne sont que 30% à estimer qu'elle fonctionne bien, selon des chiffres dévoilés au mois d'avril.

Alors que le dernier numéro de Touche pas à mon poste était diffusé mercredi sur Internet et via les box des opérateurs, le président du groupe M6, David Larramendy, a exprimé jeudi sa grande satisfaction à l’idée d’accueillir Cyril Hanouna à la rentrée.

Le moral des chefs d’entreprise et le climat des affaires s’améliorent depuis trois mois selon l'INSEE, mais ils attendent maintenant que le gouvernement passe aux actes, notamment François Bayrou, Bruno Retailleau et Éric Lombard, qui sont en première ligne.

Les boursiers et les investisseurs sont plus optimistes que l’opinion publique et les responsables politiques sur la capacité des pays européens à restaurer un redressement des activités et à éviter l’asphyxie dans le nouvel ordre mondial qui se dessine.

Faire remarquer à quelqu'un qu'il a tort fait partie de la vie. Et les journalistes doivent le faire en permanence - leur travail consiste notamment à aider à faire le tri entre ce qui est vrai et ce qui ne l'est pas. Mais qu'en est-il si les gens n'aiment tout simplement pas entendre des corrections ?

Ce paradoxe a mis tous les économistes officiels en émoi, et la classe politique n'a pas été capable de l'expliquer. Et pour cause, ce phénomène prouve qu'ils n'ont cessé de se tromper sur les véritables moteurs de l'activité.

La recherche en sociologie et sciences politiques tend à montrer que la plupart d’entre nous sommes beaucoup plus loyaux qu’enclins à la trahison.

L'observatoire des entreprises, géré par les chambres de commerce, s’est donc un peu assombri au mois de février. Alors que le mois de janvier était resté bien orienté, le mois de février se termine avec un petit moral plus bas, dû d'ailleurs à des raisons politiques et économiques qui pèsent sur l'Europe toute entière.

Jamais contents : Drôle d’ambiance dans les allées de l'hippodrome de Longchamp. Les chefs d’entreprise reconnaissent que la situation économique est plutôt bonne, mais l'avenir leur paraît sombre, ce qui provoque une grogne générale. Il y a des explications, mais pas forcément de remèdes.

Depuis que Macron a pris ses fonctions en 2017, sa présidence a été ponctuée d'épisodes de troubles graves et de désordres - parfois des jours, parfois des semaines, voire des mois.

Face à l’inflation et au regard de la situation économique, les pratiques des consommateurs vont-elles évoluer radicalement ?

L’intelligence artificielle est de plus en plus présente dans le secteur du BTP. L’IA pourrait être un outil majeur pour la transformation des bâtiments et des constructions, notamment dans une perspective de développement durable.

Au cœur de la vision du fordisme se trouvait le paradigme d’une société à forte confiance entre citoyens et entreprises. Avec l’ubérisation de pans entiers de l’économie, nous sommes passés à une société à faible confiance

La crise des retraites a entraîné une forme d’impasse démocratique, politique et institutionnelle opposant deux légitimités, celle d'Emmanuel Macron et du vote du parlement contre celle de la démocratie sociale, des syndicats et de l’opinion publique qui souhaitent le retrait du projet. Qui parviendra à éviter l’embrasement ?

Entre le Covid, l’inflation, la lutte pour le climat… Les Français n’ont pas bousculé la hiérarchie des valeurs des grandes marques vedettes qu’ils pratiquent dans leur vie quotidienne de consommateur.

Ce phénomène qui touche jusqu’à près d’un homme sur deux s’appelle l’effet Dunning Kruger et il est étudié par des universitaires spécialisés en psychologie. Qu’en pensent les pilotes ?

Retraite, santé, éducation, travail. Les Français savent très bien que le pays a besoin de réformes. N’ayant plus confiance dans les responsables politiques, ils pensent majoritairement que les entreprises privées sont les mieux placées pour mettre en œuvre des facteurs de progrès

Aujourd’hui, il faut redonner la parole au peuple. Notre dette, nos niveaux de déficits et de prélèvements l’exigent.

L’illisibilité des projets de réformes explique le déficit de confiance de l’opinion publique. L’actualité nous en donne trois exemples : la réforme des rémunérations de fonctionnaires est trop compliquée, la politique de l’énergie est toujours aussi floue, le modèle social débordé.