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Malgré sa condamnation dans l’affaire des assistants parlementaires européens, près d’un Français sur deux (49 %), soit une hausse de 7 points en un mois, souhaite que Marine Le Pen soit candidate à la prochaine élection présidentielle de 2027, selon un sondage Ifop-Fiducial* pour Sud Radio publié vendredi.

Le journaliste Sébastien Ferjou était l’invité de Punchline ce mardi 1er avril sur CNEWS. Il s’est exprimé au sujet de la condamnation de Marine Le Pen à cinq ans d’inéligibilité : « Personne ne peut se substituer aux électeurs ».

Depuis le prononcé du jugement à son encontre, Marine Le Pen et les siens ont adopté une stratégie agressive. Une stratégie qui a d’ailleurs porté ses fruits puisque la Cour d’appel de Paris a décidé d’accélérer la procédure afin de rendre son verdict « à l’été 2026 ». Après avoir soufflé le chaud, le Rassemblement National doit-il désormais souffler le froid ? Pour en parler, Christophe Boutin et Frédéric Mas.

Marine Le Pen a accordé une interview au JDD et s’est confiée sur la procédure judiciaire en cours.

L’accusation a requis, dans le cadre du procès des assistants parlementaires du Rassemblement national, cinq ans de prison (dont deux fermes aménageables), une amende de 300 000 euros et cinq ans d'inéligibilité.

Marine Le Pen et des membres de son parti sont accusés d’avoir utilisé de l’argent du Parlement européen pour payer des salariés.

L'ancien président du Front national a fait l'objet mi-février d'un mandat de protection.

François Bayrou, président du MoDem, Haut-Commissaire au Plan et maire de Pau, est l'invité d'Apolline de Malherbe dans le "Face-à-Face" sur BFMTV et RMC, ce mardi 6 février.

L'ancienne candidate à la présidentielle sera jugée avec le Rassemblement national et 26 autres personnes en 2024 dans le cadre de l’affaire des assistants parlementaires.

Un rapport de police dévoilé par le JDD montre que Marine Le Pen, la présidente du Rassemblement national, était l'organisatrice et la bénéficiaire d'un système d'emplois fictifs d'assistants parlementaires.

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La fille de Jean-Marie Le Pen était entendue dans le cadre de l'enquête sur les emplois présumés fictifs de son parti au Parlement européen.

"Il s'agissait bien d'emplois à temps partiels fictifs. François Bayrou ment quand il dit le contraire..." assène l'ex-assistant au Parlement européen.

Selon un sondage exclusif Harris Interactive en partenariat avec RMC, 65% des Français estiment que la présence du ministre de la Justice actuel au gouvernement est un "handicap" pour Emmanuel Macron.

Dans les colonnes du Canard enchaîné, Karine Aouadj, ancienne secrétaire particulière de François Bayrou, affirme qu'elle était l'assistante parlementaire locale de l'eurodéputée Marielle de Sarnez.

La personne à l'origine de la dénonciation "est un collaborateur direct de la maire de Paris", a-t-il affirmé sur CNEWS.

La justice entend "déterminer si des irrégularités ont été commises et si elles sont susceptibles de recevoir une qualification pénale".

La ministre des Affaires européennes est visée par une enquête pour "abus de confiance". Elle aurait fait travailler son assistant parlementaire pour son parti, le MoDem.

Selon l'AFP et le JDD, un email et un tableau mettent à mal la défense de Marine Le Pen.

Le ministre de l'Intérieur s'est exprimé ce mardi après avoir été reçu par François Hollande en présence de Bernard Cazeneuve.