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Un débat était organisé sur le plateau de BFMTV sur le budget présenté par Michel Barnier. Jean-Sébastien Ferjou, directeur de la publication d’Atlantico, était l’invité de BFMTV.

Michel Barnier vient de présenter son plan. Mais va-t-il durer ?

Le budget 2025 a évidemment provoqué un tollé de protestations sur le terrain économique et social, mais il a aussi relancé le bal des égos et de l’hypocrisie dans la classe politique. Tout le monde est contre, mais personne n’a de programme alternatif…

En interne, une Lucie Castets omniprésente mais à la fonction de plus en plus floue commence à indisposer.

Les mesures annoncées par Michel Barnier pour réduire les dépenses publiques vont-elles nuire à la croissance ? La France aura-t-elle structurellement des difficultés économiques tant que la BCE ne changera pas de stratégie ?

Les milieux d’affaires considèrent que la conjoncture n’est pas trop mauvaise, mais ils craignent par-dessus tout que les mesures Barnier ne cassent le mouvement fragile de reprise. Sauf qu’ils restent très modérés dans leur analyse critique.

Comme Emmanuel Macron et ses prédécesseurs avant lui, Michel Barnier a décidé de limiter à 15 le nombre de conseillers dont un ministre de plein exercice peut s’entourer.

Le gouvernement se met en route, mais on ne voit aucun ministre se faire l'avocat d'un libéralisme économique. Le courant libéral a disparu du marché politique alors que c'est sans doute le logiciel dont on aurait le plus besoin.

Le directeur de la publication d’Atlantico était l’invité de BFMTV. Il a notamment commenté les ultimes arbitrages dans le cadre de la nomination des ministres du gouvernement de Michel Barnier.

A l'occasion d'une réunion du groupe Ensemble, Gabriel Attal s'est exprimé sur le nouveau gouvernement de Michel Barnier.

Michel Barnier a su mettre l'objectif dans la cible de la France d'en bas, Emmanuel Macron aussi et ça faisait longtemps que ça ne lui était pas arrivé.

Le secrétaire général de l’Elysée, Alexis Kohler, a annoncé, ce samedi, la liste complète du nouveau gouvernement Barnier. Composé de 39 ministres et secrétaires d’État, il penche plutôt à droite et réunit de nombreuses personnalités macronistes.

Selon Marine Le Pen, la situation politique « ne peut pas tenir ». Le RN participait ce week-end à la rentrée parlementaire des élus de son groupe à l’Assemblée.

« Habemus Primus Minister ». Contrairement au protocole qui marque l’élection du Pape (toute comparaison étant purement contextuelle), la fumée avait largement envahi le ciel de la politique française bien avant son arrivée.

La chef de file des députés RN a démenti une information du JDD selon laquelle elle aurait échangé avec Emmanuel Macron jeudi, le Président voulant s’assurer que le nouveau premier ministre ne serait pas censuré avant son discours de politique générale.

Le directeur de la publication d’Atlantico a participé à un débat sur BFMTV sur la nomination de Michel Barnier à Matignon et sur les perspectives politiques pour les futures missions du Premier ministre.

L’ancien Premier ministre d’Emmanuel Macron a officialisé sa candidature à la présidentielle mardi soir, en plein crise politique. Sa prise de position a été très critiquée au sein de la majorité présidentielle.

Les forces de gauche et les citoyens ayant voté pour le Nouveau front populaire et La France insoumise se mobilisent ce samedi à travers 150 rassemblements à travers le pays pour dénoncer le choix d’Emmanuel Macron pour Matignon et en réaction à la crise politique.

Le nouveau Premier ministre va participer notamment à une table ronde avec le personnel de santé à l’occasion de ce déplacement à l’hôpital Necker.

Lors d’un déplacement dans la Marne, le président du Rassemblement national s’est exprimé sur la nomination de Michel Barnier. Selon Jordan Bardella, Michel Barnier est « un Premier ministre sous surveillance démocratique », auquel il accorde « le bénéfice du doute ».