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La libération des derniers otages pris par le Hamas marque une étape majeure du conflit au Moyen-Orient. Mais au lieu d’un consensus de soulagement, le geste diplomatique américain met à nu des fractures profondes en Europe.

Sous les applaudissements nourris des députés israéliens, Donald Trump a prononcé lundi à Jérusalem un discours historique devant la Knesset, scellant symboliquement la fin de la guerre à Gaza et appelant à une « ère de paix perpétuelle » entre Israël et le monde arabe.

Ce lundi 13 octobre, les derniers otages vivants encore détenus par le Hamas ont été libéré, délivrant les Israéliens d'une profonde angoisse et exprimant clairement la réussite diplomatique du président Donald Trump dont le plan de paix a su réunir les différents acteurs de la région. Quels ont été les ingrédients de cette réussite ? Décryptage.

Lors de son discours à la Knesset de Jérusalem, ce lundi 13 octobre après la libération des derniers otages israéliens encore en vie, le président américain a demandé à ce que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu soit amnistié.

Alors que la date butoir fixée par l’accord négocié sous l’égide de Donald Trump approche, Israël s’apprête à accueillir le retour des quarante-huit otages encore détenus par le Hamas à Gaza.

Longtemps perçue comme un soutien indéfectible du Hamas, la Turquie s’impose aujourd’hui comme un acteur clé du cessez-le-feu entre Israël et le mouvement islamiste.

Le président américain Donald Trump a déclaré dimanche 12 octobre que la guerre entre Israël et le Hamas était désormais "terminée", alors qu’il se rendait au Moyen-Orient pour assister au « Sommet pour la paix » organisé à Gaza.

L’Egypte organise ce lundi un « Sommet de la paix » historique entre Israël et Gaza, à Charm el-Cheikh.

Un haut responsable du Hamas a confirmé que la libération des 48 otages détenus à Gaza, majoritairement israéliens, débutera bien lundi matin.

Alors que Donald Trump a obtenu la signature d'accords de paix entre Israël et le Hamas, Faraj Alexandre Rifai remet en question la stratégie diplomatique d'Emmanuel Macron et loue l'approche pragmatique du président américain.

Le comité Nobel a tranché : le prix Nobel de la paix 2025 revient à la Vénézuélienne María Corina Machado, symbole de la lutte démocratique contre le régime autoritaire de Nicolás Maduro. L’annonce a été faite ce vendredi 10 octobre à Oslo, au lendemain d’un accord de cessez-le-feu à Gaza — trop tard pour que Donald Trump, un temps pressenti par ses partisans, puisse espérer décrocher la prestigieuse distinction.

Après quasi 2 ans de guerre jour pour jour, Donald Trump a obtenu ce qu'il voulait depuis des mois ; un accord de paix signé entre Israël et le Hamas, qui désarme le groupe armé et permet la libération des otages israéliens, le tout avec l'appui d'une coalition de pays arabes tournés vers la paix avec Israël. Une réussite qui bouleverse la situation au Moyen-Orient et pourrait reconfigurer la région au long terme. Décryptage.

Israël et le Hamas ont officialisé, jeudi, l’entrée en vigueur de la première phase du plan de paix de Donald Trump, prévoyant un cessez-le-feu à Gaza et la libération des otages détenus depuis deux ans. L’annonce, survenue après quatre jours de négociations en Égypte, a provoqué des scènes de joie simultanées à Tel-Aviv et dans la bande de Gaza, deux territoires meurtris par une guerre qui a fait plus de 68 000 morts depuis 2023.

Deux ans après le début de la guerre à Gaza, Israël et le Hamas ont accepté un cessez-le-feu dans le cadre du plan de paix présenté par Donald Trump. L’accord, conclu dans la nuit de mercredi à jeudi lors de pourparlers en Égypte, marque le début d’un processus qui pourrait mettre fin à l’un des conflits les plus meurtriers du XXIᵉ siècle.

Des tags faisant l'apologie du Hamas et insultant Israël ont été retrouvés sur la façade de Sciences Po Strasbourg. Le comité Palestine de Strasbourg assure ne pas en être à l’origine. De son côté, l’établissement annonce déposer plainte.

Présenter le conflit comme un simple différend colonial ou ethnique revient à ignorer les motivations religieuses du Hamas et à entraver une solution réaliste à long terme.

Il y a deux ans, le Hamas lançait une attaque d’une ampleur inédite contre Israël. En quelques heures, le mouvement islamiste palestinien frappait des bases militaires, des villages et un festival de musique, faisant près de 1 200 morts et plus de 250 otages. Un assaut qui a bouleversé durablement la région et ouvert une nouvelle ère de guerre.

L’ancien premier ministre britannique, fort de son expérience au Moyen-Orient, pourrait prendre la tête d’une autorité internationale de transition à Gaza, dans le cadre du plan de paix porté par Donald Trump. Une initiative qui mêle ambitions diplomatiques, enjeux géopolitiques et retour sur le devant de la scène pour un dirigeant controversé.

Deux ans après l’attaque du 7 octobre 2023, où en est réellement l’État hébreu et la société israélienne ? Sur le plan militaire, politique, géopolitique et sociétal, Israël a connu une série de transformations profondes, entre sursaut stratégique et fractures internes non résolues.

Le ministère des affaires étrangères israélien a annoncé, sur le réseau social X, que 171 membres de la Global Sumud Flotilla ont été expulsés, plus tôt aujourd’hui, en direction de la Grèce et de la Slovaquie.