Contenus en rapport avec le mot-clé États-Unis

Des voitures brûlent, des drapeaux sont brandis à l’envers, et les élites restent aveugles : la crise migratoire américaine est en train de se transformer en quelque chose de bien plus dangereux.

La « gold card » (« carte dorée »), est un titre de résidence permanent à 5 millions de dollars lancé par le président américain pour attirer les investisseurs les plus fortunés aux États-Unis.

Kim Kardashian a dénoncé les pratiques de l’agence américaine Immigration and Customs Enforcement (ICE). Tricia McLaughlin, la secrétaire adjointe aux affaires publiques du Département de la Sécurité intérieure des États-Unis (DHS) a critiqué l’attitude de Kim Kardashian.

Dans cette nouvelle guerre froide, le champ de bataille n’est plus l’espace ni les océans, mais le cloud. L’arme n’est plus nucléaire, mais algorithmique. Et la ressource décisive n’est plus le pétrole, mais les GPU, ces processeurs graphiques devenus les moteurs de l’intelligence artificielle. Alors que les États-Unis verrouillent l’accès aux puces les plus performantes, l’Europe regarde passer les convois.

Elon Musk a dit regretter d'être « allé trop loin » dans certaines de ses publications virulentes contre Donald Trump, quelques jours après leur dispute en place publique. Des excuses dont Donald Trump a « pris acte », selon la Maison Blanche.

À l’issue de deux jours de négociations à Londres, Donald Trump a annoncé un accord commercial avec la Chine visant à garantir l’approvisionnement des États-Unis en terres rares, ressources stratégiques pour l’industrie et la défense.

Khaby Lame, star de TikTok avec ses 162 millions d’abonnés, a quitté les États-Unis après avoir été arrêté par des agents d'immigration à Las Vegas.

Le patron de Tesla et SpaceX a publié un message d’excuses sur son réseau social X, après avoir fortement critiqué le président américain.

Dans son rapport sur l’avenir de l’Union européenne, Mario Draghi avait listé les moyens à mobiliser pour organiser le rebond. C’était avant que Trump ne prenne le pouvoir et ne dénonce l’incapacité des Européens à s’affranchir du soutien de l’Amérique.

Los Angeles est actuellement la proie d'émeutes en réaction à la politique migratoire de Donald Trump. Dans cet Etat à la forte communauté hispanique et démocrate, les premières oppositions au président se font dans la rue. Une situation qui illustre le clivage très fort d'une société américaine tiraillée entre des tendances qui s'opposent.

Invité à réagir à l’hypothèse d’une arrestation de Gavin Newsom, gouverneur démocrate de Californie et l’un de ses adversaires politiques récurrents, Donald Trump a lâché : "Ce serait super" de pouvoir procéder à une telle arrestation.

À Sciences Po comme ailleurs en Europe, un climat d’intimidation idéologique semble s’installer, selon l’auteur. Dans une tribune publiée par The European Conservative, l’essayiste dénonce l’influence croissante des Frères musulmans, le recul de la liberté d’expression face à la peur de l’islamisme, et une Europe qui, à ses yeux, avance à reculons. Entre censure, communautarisme et paralysie politique, le parallèle avec la chute de Rome se veut aussi provocateur qu’inquiétant.

Errol Musk s’est exprimé pour la première fois au sujet des vives tensions entre son fils Elon et le président américain Donald Trump. Selon son père, Elon Musk a commis une erreur.

L'influenceur est depuis parti de manière « volontaire » des Etats-Unis.

De violents affrontements ont éclaté entre manifestants protestant contre les expulsions massives lancées par Donald Trump, notamment à Paramount, une banlieue hispanophone de Los Angeles.

Kilmar Abrego Garcia, Salvadorien expulsé des États-Unis malgré une décision de justice annulant son renvoi, a finalement été rapatrié après des mois de polémique. Mais loin de revenir libre, il est désormais inculpé pour trafic de migrants. Une affaire explosive qui met en cause l’administration Trump et soulève de lourdes questions sur la séparation des pouvoirs.

C’est presque devenu une habitude. Cela ne devrait pas. Le président américain invective le Banquier central américain, lui reprochant de ne pas assouplir davantage la politique monétaire. Il faut dire que l’indépendance de la Banque centrale n’est pas un sujet tabou pour Donald Trump. Ce n’est même pas un sujet du tout. Idéalement, Donald Trump se verrait bien financer ses plans par de la création de monnaie. Comme s’il avait le droit d’imposer cela à la Banque centrale, et cette dernière le devoir de lui obéir. Jadis, le pape Sylvestre 1er aussi invoqua un droit exorbitant auprès de l’autorité en place. Mais c’était un faux.

Après des mois d’attente, Donald Trump et Xi Jinping ont échangé par téléphone pour la première fois depuis l’investiture du président américain en janvier 2025. Un appel aussi symbolique que stratégique, sur fond de rivalités économiques, militaires et idéologiques entre Washington et Pékin. Cette reprise de contact peut-elle apaiser les tensions ou ne fait-elle que masquer une confrontation inévitable entre deux puissances aux visions irréconciliables du monde ?

L’alliance de circonstance entre Donald Trump et Elon Musk n’aura duré que quelques mois. Elle se brise sur fond de désaccords budgétaires et de visions divergentes de l’avenir américain. D’un côté, une Amérique populaire, conservatrice et attachée à une forme de souveraineté ; de l’autre, les techno-libertariens qui misent sur l’innovation et l’autonomie du marché. Au-delà de la rupture personnelle, c’est tout un équilibre idéologique qui vacille : qui, de l’État ou des géants de la tech, mène encore le jeu ?

Après une semaine délirante où Donald Trump et Elon Musk se sont déclarés la guerre, les milieux d’affaires internationaux sont en panique, car ils pensent que le président américain va finir par tout casser.