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À la veille du vote de confiance à l’Assemblée nationale, le président des Républicains, Bruno Retailleau a clarifié la position de la droite dans le futur contexte politique.

Jean-Sébastien Ferjou était l'invité de CNews.

Derrière la domination apparente du Rassemblement national dans les sondages, plusieurs signaux faibles interrogent. La stagnation électorale et la concurrence à droite pourraient freiner les chances de victoires lors des futurs scrutins.

Alors que Bruno Retailleau semblait avoir emporté pour de bon le parti des Républicains en mai dernier, son rival malheureux, Laurent Wauquiez, fait entendre ses derniers jours sa petite musique en annonçant qu'il ne censurerait pas d'office un gouvernement socialiste. Une manière de marquer sa liberté avec en ligne de mire la présidentielle 2027 ? Décryptage.

La rentrée politique s’annonce particulièrement difficile pour Emmanuel Macron. Selon le dernier baromètre Figaro Magazine, sa cote de confiance chute de six points pour atteindre 15 %, son niveau le plus bas depuis son élection en 2017, dépassant même la crise des gilets jaunes. François Bayrou n’est pas mieux loti : seulement 14 % des Français lui accordent leur confiance, un score historiquement faible depuis sa nomination à Matignon.

Entre nécessité arithmétique et risque d’absorption, l’union des droites oscille entre tentation et prudence. Le poids électoral du RN et la fragilité de LR rendent le scénario à la fois crédible et dangereux.

Après plusieurs semaines de crispations internes, Les Républicains ont trouvé un compromis qui permet d’éviter une fracture ouverte à Paris. Rachida Dati renonce à se présenter à la législative partielle de septembre, laissant le champ libre à Michel Barnier, et obtient en contrepartie l’investiture officielle du parti pour conduire la liste aux municipales de 2026.

La ministre de la Culture, Rachida Dati, a confié dans un entretien à la Tribune Dimanche qu'elle maintenait sa candidature à la législative partielle dans la 2e circonscription de Paris.

Fin d’époque en Bolivie: deux candidats de droite au second tour, gauche fracturée, sur fond de crise économique et lassitude sociale.

La ministre de la Culture Rachida Dati a annoncé fin juillet sa candidature à cette législative partielle. Michel Barnier est également engagé dans la course et a obtenu l’investiture des Républicains.

Dans une interview accordée à La Tribune dimanche, Michel Barnier, investi par Les Républicains dans la deuxième circonscription de la capitale, a évoqué la candidature de Rachida Dati. L’ancien Premier ministre a notamment indiqué qu’il était prêt à soutenir Rachida Dati lors de l'élection municipale à Paris en 2026.

Quoi qu’on pense du sujet de fond, le succès de la pétition contre la loi Duplomb montre une perte de confiance dans les processus démocratiques français. À qui la faute ?

Alors que nombre de Français expriment des aspirations compatibles avec les principes du libéralisme, le mot lui-même demeure tabou, souvent caricaturé ou rejeté. Le libéralisme, marginalisé dans le débat public, est défendu par des dirigeants politiques qui aspirent à réformer le pays.

L'élection législative partielle dans la 2e circonscription de Paris continue de diviser la droite. L'ancien Premier ministre Michel Barnier a annoncé sa candidature cette semaine. Mais la circonscription intéresse aussi Rachida Dati.

Le Conseil national des Républicains était organisé ce samedi à Paris. Bruno Retailleau souhaite mettre la droite en ordre de marche pour les prochaines batailles électorales.

A l’occasion du Conseil national du parti Les Républicains, organisé ce samedi, Bruno Retailleau s’est entouré de 13 vice-présidents à la tête de LR, ainsi que d’un bureau politique et d’une commission d’investiture renouvelés.

Le Sommet des Libertés a réuni à Paris une large palette de personnalités issues des droites françaises. Une alliance durable autour des libertés est-elle en train d’émerger, ou s’agit-il d’un mirage idéologique ?

Interview avec le président de l'Union des droites pour la République qui continue, plus que jamais, à porter l’idée d’une alliance entre la droite et le Rassemblement national.

En Italie, le référendum organisé ce lundi 9 juin a échoué faute d’un quorum atteint. Soumis aux électeurs, ce vote devait valider des réformes facilitant l’accès à la nationalité et revenir sur certaines dispositions de libéralisation du marché du travail. Cependant, le gouvernement avait explicitement incité ses sympathisants à ne pas participer, appelant à l’abstention.

La France aura besoin d’un électrochoc pour accepter les réformes nécessaires au rétablissement de l’équilibre de ses comptes. Mais une grande partie de la classe politique (à droite comme à gauche) considère qu’il faudra attendre les élections présidentielles pour trouver une solution.