L’an dernier, Christophe de Voogd avait parié sur la possible dissolution de l'Assemblée. Il parie désormais sur la possibilité qu'Emmanuel Macron n'aille pas nécessairement au bout de son mandat et nous explique pourquoi.

La présentation du budget 2025 par Michel Barnier, le nouveau Premier ministre, constitue pour beaucoup une forme de douloureux réveil des sept dernières années de macronisme.

Malgré les déclarations de Jean-Luc Mélenchon, les candidats LFI arrivés en troisième position ne se désisteront pas systématiquement lors du second tour des législatives.

Après près de 6 mois de négociations et alors que le Parti de la liberté de Geert Wilders est arrivé en tête lors des législatives de novembre 2023, une coalition gouvernementale semble en vue aux Pays-Bas avec la signature hier d’un accord de coalition.

Les agriculteurs allemands, opposés à la suppression progressive d'un avantage fiscal sur le gazole, annoncent une manifestation monstre lundi 8 janvier.

Bruxelles ne pourra pas marginaliser, comme il a pu le faire avec la Hongrie, un pays fondateur aussi puissant que les Pays-Bas, ne serait-ce que par son poids financier et commercial.

La haine de soi atteint en ce moment un paroxysme, et les ennemis de l'Occident s'en nourrissent.

Les critiques sur la présence d'Emmanuel Macron à la messe célébrée par le pape François à Marseille proviennent principalement de la gauche.

Nicolas Sarkozy vient de publier un nouveau livre, "Le temps des combats", où il dévoile sa vision du monde et de la politique.

Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a annoncé son retrait de la vie politique ce lundi après la démission de son gouvernement de coalition, évoquant des différends après des négociations houleuses concernant la politique d'accueil des réfugiés dans le pays.

Depuis 2017, et sa réélection en témoigne, Emmanuel Macron a su surfer sur une vague de circonstances dramatiques, de la crise des gilets jaunes à la guerre d’Ukraine, en passant par la sidération du COVID.

Malgré les reculs électoraux successifs des Républicains, le parti joue un rôle clé dans le pays. "Coincé" entre le marteau de la Macronie et l'enclume du Rassemblement National, LR s'érige désormais en parti-charnière de la vie politique française

Les députés LR ont voté en faveur du retour du dispositif initial de l’exit tax qui avait été fortement allégé et assoupli par Macron.

Le pass sanitaire et autres mesures ont pris fin au 1er août. Mais plusieurs raisons peuvent permettre de comprendre pourquoi nous les avons tolérées aussi facilement.

L’élection pour la présidence du parti Les Républicains pourrait bien être le théâtre d’une nouvelle guerre dont la droite a le secret. Laurent Wauquiez a annoncé qu’il ne briguerait pas la présidence LR.

La nature profonde du macronisme s’apparente au saint-simonisme, à une aspiration au gouvernement des experts. Lors des législatives, les Français ont rejeté le mode de gouvernance et la ligne politique d’Emmanuel Macron.

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Que ce soit sur les missions régaliennes traditionnelles de l'État, mais aussi sur l'éducation et la santé, le macronisme engendre une certaine forme de renoncement politique provoqué par un déni de réalité et un mépris de ce que vivent les Français, notamment les plus modestes. Mais force est de constater que ce déni et ce mépris dépassent de loin la macronie et caractérisent aussi le discours médiatique dominant (de gauche radicale), alors que les Français, dans leur grande majorité, donnent désormais la priorité à la protection du pouvoir d’achat, devenu le principal « sujet régalien » au détriment de tous les autres.

Le croisement des courbes entre la candidate LR Eric Zemmour que beaucoup redoutaient à droite s’est produit.

Le vendredi 7 et le samedi 8 janvier se tenait à la Sorbonne un colloque autour du thème « Après la déconstruction : reconstruire les sciences et la culture ». Ce colloque a permis de mettre en lumière les dérives du wokisme.