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La consommation de soda dit “light”, c’est-à-dire dans lesquels l’aspartame a remplacé le sucre, n’engendre a priori que peu de risques de cancer. Pour autant, il apparaît difficile de recommander leur consommation.

Lorsque le mercure monte, certaines boissons deviennent particulièrement contrindiquées.

Les fast-food ne sont pas les meilleurs restaurants où emmener ses enfants. Parmi tous les plats proposés, certains sont d'ailleurs vraiment à éviter... Voici un petit guide pour se repérer.

Des chercheurs de l'Université de Liverpool et Queen Mary ont analysé 203 jus de fruits destinés aux enfants. Ils ont constaté que 42% des produits contenaient au moins 19 grammes de sucre, soit la quantité maximale de sucre qu'un enfant doit normalement manger en une journée.

Les scientifiques souhaitaient étudier les effets des différents type de sucre sur notre métabolisme.

Selon un rapport adopté par la commission des affaires sociales, les produits alimentaires soumis à une taxe comportementale ne doivent plus bénéficier de la TVA à taux réduit.

Selon la professeur de nutrition Susan Jebb, les jus de fruits n'ont pas leur place dans une alimentation équilibrée.

Une étude menée sur des souris révèle leurs effets néfastes pour la fertilité et l'instinct de survie.

Alors qu'une nouvelle étude montre que les sodas très sucrés ont un impact négatif sur la santé, la fertilité et l'instinct de survie, se pose la question des effets des nectars de fruit pleins de sucre.

La chercheuse Susan Swithers suggère que les boissons light seraient aussi néfastes pour la ligne que les sodas classiques.

La start-up a fait le pari de la qualité puisqu'elle ne propose que des AOC.

Selon une étude menée pendant huit ans, les personnes qui consommaient au moins une boisson sucrée par jour ont vu leur risque de calculs dépasser les 23% par rapport à celles qui buvaient moins d'une de ces boissons par semaine.

Le syndrome de la taxation des produits "malsains" semble pénétrer de plus en plus profondément la pensée politique française. Mais au-delà de la déresponsabilisation des consommateurs que cela implique, les conséquences économiques sont réelles.

Selon plusieurs études récentes, boire une canette de soda par jour suffirait à favoriser de 50% la possibilité de développer un diabète de type 2. Faut-il envisager d'apposer une mention "Boire du soda tue" sur les canettes de soda ?

C'est ce que révèle une récente étude américaine...

Alors que l'Inserm a montré que les personnes consommant des sodas "light" ont plus de chance de souffrir d'un diabète, ces boissons peuvent aussi avoir des effets positifs.

Une étude de l'Inserm a suivi 66 000 femmes pendant 14 ans.

Le géant américain s'engage "à communiquer clairement le nombre de calories contenues dans tous ses produits".

Une étude américaine prouve que les personnes buvant des boissons sucrées (non-alcoolisées) développeraient plus facilement des dépressions.

Riches en calories, les sodas trompent le cerveau car elles n'offrent aucune sensation de satiété.