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L’accord commercial entre l’UE et Washington offre un répit aux Européens, mais au prix de concessions majeures et d’un recul sur certains secteurs clés.

Lors d’un sommet international organisé en Chine, Vladimir Poutine a une nouvelle fois rejeté la responsabilité du conflit en Ukraine sur les pays occidentaux. Devant ses alliés, le président russe a présenté l’intervention militaire de Moscou comme une réponse aux bouleversements politiques de 2014 à Kiev et aux ambitions de l’OTAN.

Alors que Donald Trump, au bout de sa patience vis à vis de Vladimir Poutine sur la guerre en Ukraine, a imposé des surtaxes à l'Inde, principale acheteur du pétrole russe sous sanctions, New Delhi refuse de céder et défend sa stratégie d'approvisionnement à bas prix.

Face à un conflit qui s’installe dans le temps, les pays européens n’ont pas encore adapté leur stratégie ni leur appareil industriel à l’ampleur du défi. Si des négociations ont été entamées à Washington, la Russie semble plus que jamais décidée à imposer un conflit long. L’Europe donne le sentiment de ne pas anticiper sérieusement ce scénario.

Alors que Donald Trump s’apprêtait à rencontrer le président ukrainien ainsi que sept autres dirigeants européens à la Maison Blanche, le président américain a discrètement échangé avec Emmanuel Macron au sujet de Vladimir Poutine et du plan de paix.

À Washington, Zelensky exhorte Donald Trump à ne pas « récompenser » Moscou. Sous l’œil des Européens, les lignes de la négociation se durcissent et engagent l’équilibre transatlantique.

Volodymyr Zelensky doit rencontrer le président américain ce lundi 18 août. Il sera accompagné d'Emmanuel Macron, de la présidente de la Commission européenne et d'autres dirigeants européens.

Le président ukrainien s’est dit favorable samedi à une réunion tripartite entre son pays, la Russie et les Etats-Unis. Il souhaite aussi que les Européens « soient impliqués à chaque étape » des discussions dans le cadre du plan de paix et des négociations.

Les dirigeants russe et américain ont échangé pendant trois heures en Alaska mais sans annonce officielle pour résoudre le conflit en Ukraine. Donald Trump a indiqué qu’il restait « très peu » de points à régler avec la Russie pour obtenir la paix en Ukraine.

Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine se rencontrent ce vendredi à Anchorage pour discuter d’une possible paix en Ukraine. Pour en parler, le Général François Chauvancy.

Vladimir Poutine pourrait une nouvelle fois échapper aux sanctions promises par Washington en acceptant de rencontrer Donald Trump en Alaska le 15 août prochain pour échanger sur la guerre en Ukraine.

Le président azerbaïdjanais Ilham Aliev et le Premier ministre arménien Nikol Pachinian ont signé un accord à la Maison blanche les engageant à « cesser définitivement » le conflit territorial qui les oppose.

À quelques jours d’un sommet inédit entre Donald Trump et Vladimir Poutine en Alaska, les inquiétudes grandissent : l’Ukraine est absente, l’Europe marginalisée, et les concessions territoriales sont évoquées en coulisses. Derrière les apparences d’un dialogue diplomatique, les discussions entre Trump et Poutine contribuent à un renversement profond des équilibres stratégiques.

Steve Witkoff a pu échanger pendant près de trois heures avec le président Vladimir Poutine, à deux jours de l’expiration de l’ultimatum posé par le président américain.

Face à une Russie de plus en plus isolée mais toujours déterminée, Donald Trump envoie une nouvelle fois son émissaire Steve Witkoff négocier avec Vladimir Poutine, dans une tentative d’apaisement aux allures d’improvisation stratégique.

En cas d’échec des négociations commerciales entre l’UE et les États-Unis en Écosse, les droits de douane vont s'appliquer au 1er août, sans exception, a déclaré le secrétaire d'État au Commerce américain Howard Lutnick lors d'une interview.

Trump a mis en garde la Russie contre de lourdes sanctions si elle ne mettait pas fin à sa guerre en Ukraine dans les 50 jours.

Les négociations avec les Etats-Unis à propos des droits de douane que Donald Trump menace d’imposer aux Européens sont "extrêmement difficiles", a confié le ministre français de l’Économie, Eric Lombard.

Les bourses européennes ont évidemment démarré la semaine à la baisse, mais aucune n’a cédé à la panique et elles attendent un changement d’attitude de Donald Trump avant le 1er août. Les boursiers sont nerveux mais trouvent dans l’actualité des raisons économiques et politiques de rester zen.

Les Etats-Unis avaient fixé un ultimatum au 9 juillet. L'échéance pour l’instauration des droits de douane punitifs a été repoussée.