Désolé chère MarianneNon, l’accord du 12 juillet avec la Grèce n’est pas un diktat même s’il ne résout rien L’accord du 12 juillet entre la Grèce et ses créanciers n’est pas un diktat, comme le titrait Marianne, mais bien une triple erreur. Erreur de penser que l’on peut réformer un pays contre sa propre volonté, exprimée clairement par le peuple dans un référendum, erreur de penser qu’une dette de 170% peut être résorbée par le miracle de la discipline budgétaire, erreur de penser qu’un pays ne peut rester pleinement européen en sortant de l’eurozone.
17 juillet 2015