Le paradoxe du régime : voilà pourquoi la perte de poids ne se traduit pas toujours par une meilleure santé

Et si maigrir n'était pas toujours synonyme de meilleure santé ? Dans une société obsédée par la minceur, une étude récente remet en question une croyance bien ancrée : la perte de poids importante, censée améliorer la santé des personnes obèses atteintes de maladies cardiovasculaires, pourrait au contraire augmenter le risque de décès prématuré. Une enquête qui bouscule les idées reçues et interroge notre rapport collectif au corps, à la santé et au bien-être.

Barbara Pierscionek

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MOTS-CLES

obésité , santé , surpoids , perte de poids , Alimentation , IMC

THEMATIQUES

Santé

A PROPOS DES AUTEURS

Barbara Pierscionek

Professeur et doyen adjoint à la recherche et à l’innovation, Université Anglia Ruskin

Barbara Krystyna Pierscionek est professeure et doyenne adjointe à la recherche et à l’innovation à l’Université Anglia Ruskin. Scientifique spécialisée dans l’optique et la biomécanique de l’œil, elle a mené une carrière internationale après un doctorat en Australie, et dirigé plusieurs équipes de recherche au Royaume-Uni. Elle est également diplômée en droit et en management, et auteure de plus de 160 publications scientifiques. Ses travaux couvrent des domaines allant des technologies appliquées à la santé visuelle aux enjeux éthiques du Big Data.

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