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Selon une nouvelle étude, le risque de développer une anosmie, la perte d’odorat, est multiplié par 1,6 à 1,7 en cas de pollution particulièrement forte.

Alors que la France souhaite développer cette source d'énergie jugée écologique, celle-ci génère davantage de particules fines que le transport.

Un chiffre revient notamment le plus souvent dans les argumentaires pro interdiction des véhicules polluants, celui des 40 000 morts par an dus à la pollution de l’air.

Les émissions de particules fines impactent la santé des gens.

Les personnes les plus touchées sont les sans-domicile-fixe qui dorment sur les grilles des bouches d'aération l’hiver

C’est même plus de 50% de la population mondiale qui est exposée à une pollution naturelle qui dépasse les nouvelles normes de qualité de l’air édictées par l’OMS. Ont-elles vraiment un sens dans ce contexte ?

Selon l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses)

L'Organisation mondiale de la santé a adopté de nouvelles recommandations beaucoup plus strictes en matière de qualité de l'air. Pour l'OMS, ce fléau est aussi grave que celui du tabagisme ou de la mauvaise alimentation.

Des actions publiques à court-terme de réduction des sources de pollution de l’air conduisent à des bénéfices immédiats

Et par conséquent le nombre de morts que l’on peut lui attribuer.

Dans une nouvelle étude publiée dans VOXeu, des chercheurs et des économistes ont étudié l'impact de la pandémie de Covid-19 et de la réduction des activités économiques sur la pollution de l'air. Les leçons à tirer sont dans le champ du dérèglement climatique.

L'année 2020, marquée par une baisse générale de l'activité dans le monde du fait des confinements, a-t-elle été marquée par une baisse de la pollution ? C'est le cas pour certains polluants, mais pas tous.

La quête de perfection en matière de santé est de plus en plus sensible dans le débat public. Au prix d'une perte de lien avec les enjeux réels.

La population atmosphérique serait deux fois plus meurtrière que les chiffres avancés jusque-là.

Alors que Paris vit un nouveau pic de pollution, mercredi 27 février, retour sur la pollution et le comportement à adopter dans cette situation.

Les niveaux de pollution aux particules fines sont bien plus faibles que ce qu'ils étaient il y a quelques dizaines d'années.

Comme le constate chaque année l’organisme officiel de surveillance de la qualité de l’air, Airparif, tous les polluants de l’air de Paris sont en très nette diminution. Mais l'angoisse des Parisiens à propos de leur air ne fait qu'augmenter. Quelle est la clé de ce paradoxe ? C'est ce que s'est demandé Christian Gérondeau dans son dernier essai, L'air est pur à Paris..., publié chez L'Artilleur. Extrait 2/2.

La mairie de Paris demande l'établissement de la circulation alternée.

A Lyon, "la situation s'est beaucoup dégradée ces dernières 24 heures", a justifié la préfecture.

L'automobile est régulièrement pointée du doigt mais plusieurs autres sources émettent des particules fines.