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Alors que les ambitions lunaires des États-Unis sont mises à l’épreuve, Artemis II s’impose comme un tournant décisif. Prévue pour 2026, cette mission historique doit démontrer la capacité de la NASA à ramener des astronautes au-delà de l’orbite terrestre, en pleine rivalité technologique avec la Chine.

De temples bouddhistes à des cendres humaines, en passant par des fragments de T. rex ou la Tesla d’Elon Musk, la conquête spatiale prend parfois des allures de quête spirituelle ou symbolique. Entre immortalité, nostalgie et désir de laisser une trace, l’humanité continue d’envoyer dans le vide sidéral bien plus que des machines.

Même à 150 millions de kilomètres de distance, l'activité solaire peut avoir des effets néfastes sur les systèmes technologiques terrestres. Les éruptions solaires – d'intenses bouffées d'énergie dans l'atmosphère solaire – et les éjections de masse coronale – des éruptions de plasma solaire – peuvent affecter les systèmes de communication, de navigation par satellite et de réseau électrique essentiels au fonctionnement de la société.

L’activité solaire s’intensifie bien au-delà des prévisions des scientifiques, a averti la NASA, ce qui entraîne davantage de tempêtes solaires, d’éruptions solaires et d’événements météorologiques spatiaux.

Et aussi : Un rover de la Nasa a filmé un phénomène météo spectaculaire sur Mars ; Ils vont transformer le sol de la Lune en oxygène et en panneaux solaires : une nouvelle ère commence ; Un crâne d’ours découvert près d’un amphithéâtre romain raconte une histoire macabre.

L'annonce de la NASA cette semaine selon laquelle le robot Perseverance aurait trouvé des bio-signatures, traces potentielles de vie, a agité la sphère scientifique et intrigué le grand public, signe que l'hypothèse d'un univers irrigué par la vie fascine toujours autant. Mais l'emballement médiatique pourrait dépasser l'ampleur de la découverte. Décryptage.

Un échantillon prélevé par le rover Perseverance révèle des signatures biologiques vieilles de 3,7 milliards d’années, qualifiées par la NASA de « signe le plus clair de vie » jamais trouvé sur la planète rouge.

À 41 années-lumière, JWST détecte sur TRAPPIST-1e, planète rocheuse en zone habitable, des indices d’atmosphère. Si cela se confirme, ce serait une première et un pas clé dans la quête d’eau liquide et de vie.

La mission InSight de la Nasa confirme que Mars possède un noyau interne solide entouré d’un noyau liquide, rapprochant la planète rouge de la Terre et éclairant son histoire géologique.

De plus en plus de pays et d’acteurs non étatiques investissent le domaine spatial, annonçant une apparente démocratisation de l’accès à l’espace. Mais cette ouverture soulève des questions complexes sur la souveraineté des nouveaux venus et sur les inégalités persistantes entre puissances spatiales.

Dix ans après la sortie de « Seul sur Mars » et dix ans avant l’échéance fictive du roman, la conquête de la planète rouge repose toujours sur des robots, tandis que les projets d’y envoyer des humains piétinent.

Un astéroïde de 60 mètres a frôlé la possibilité d’un impact avec la Terre début 2025. Si le risque s’est révélé quasi nul, la manière dont il a été communiqué soulève de vraies questions.

Les ptérosaures étaient un groupe étonnant de reptiles volants qui occupaient le ciel à peu près à la même époque que les dinosaures sur terre. Apparus dans les fossiles il y a environ 230 millions d'années, les ptérosaures ont survécu jusqu'à il y a 66 millions d'années, lorsqu'un impact d'astéroïde a contribué à leur extinction, ainsi qu'à celle de nombreuses autres formes de vie.

Selon une étude de la NASA, une technique de fitness peu connue pourrait être le secret pour perdre du poids sans effort.

Contrairement à ce que pensait Einstein, l’univers n’est pas statique : il est en expansion constante. Ce n’est pas que les galaxies bougent, mais l’espace lui-même qui s’étire, emportant tout avec lui.

La recherche de la vie au-delà de la Terre est un élément clé de l'astronomie moderne et de la science des planètes. Les États-Unis construisent de nombreux télescopes et sondes planétaires pour faire avancer cette recherche.

À l’occasion de ses 50 ans, l’Agence spatiale européenne (ESA) revient sur un demi-siècle d’exploration spatiale, entre missions audacieuses, coopération internationale et innovation technologique. De la comète Tchouri à Mars Express, de Hubble à James Webb, l’ESA s’est imposée comme un acteur incontournable du secteur spatial. Mais face à la montée en puissance de nouveaux concurrents comme la Chine et l’Inde, l’agence européenne doit désormais relever un défi de taille : rester dans la course.

Les trois astéroïdes surveillés par la Nasa traversent l'espace à une vitesse comprise entre 25.000 et 65.000 kilomètres par heure.

L'humanité n'est pas préparée à des phénomènes météorologiques spatiaux extrêmes comme une puissante explosion d'énergie solaire, avertissent des chercheurs.

Plusieurs missions ont déjà tenté d'atterrir sur la Lune en 2025, et d'autres sont à venir.