Des chercheurs ont mis en lumière un mécanisme cérébral liant consommation de sucre et libération de bêta-endorphine, un opioïde naturel, expliquant en partie notre goût pour le dessert. Mais peut-on parler d’addiction ? Pour la nutritionniste Béatrice de Reynal, il s’agit moins d’un esclavage chimique que d’une gourmandise sociale et culturelle, qu’il faut apprendre à maîtriser sans diaboliser le sucre… ni oublier les dangers souvent cachés du gras.
il y a 9 heures