Contenus en rapport avec le mot-clé islamisme

Longtemps perçue comme un soutien indéfectible du Hamas, la Turquie s’impose aujourd’hui comme un acteur clé du cessez-le-feu entre Israël et le mouvement islamiste.

Petit groupe islamiste né dans la région nancéenne en 2010, Forsane Alizza - qui signifie les « Cavaliers de la fierté » - a été dissous par décret en 2012 pour « incitation à la lutte armée ». Mais des messages signés du nom de ce même groupe ont été récemment adressés à des élus du RN et d'Ensemble.

Dans Les Nouveaux Antisémites, Nora Bussigny a infiltré manifestations, groupes de paroles, happenings, boucles Telegram en France, à Bruxelles et à Columbia, là où sévissent les rangs les plus radicaux de l’ultra gauche. Il en ressort que la génération Z (née entre la fin des années 1990 et le début des années 2010) est la plus perméable aux discours antisémites, voire d’apologie du terrorisme.

Tentant de se procurer avant parution un livre-enquête sur ses liens avec des mouvements islamistes, la France insoumise est déboutée par la justice au nom de la liberté d’expression.

Un livre explosif, Les Complices du mal d’Omar Youssef Souleimane, accuse La France insoumise de liens avec des réseaux islamistes. LFI a tenté d’en bloquer la parution, déclenchant une polémique nationale.

Face aux revendications du mouvement LGBT et à l'influence de l'entrisme islamique, la monarchie britannique se trouve à un carrefour culturel et spirituel inédit. Dans un Royaume-Uni post-chrétien, le roi Charles III tente de maintenir l’unité en multipliant les gestes symboliques envers des forces culturelles opposées, au risque de renier l’héritage chrétien qui fonde la monarchie elle-même.

Derrière les postures politiques autour des Frères musulmans se cache un enjeu bien plus profond : la préservation du pacte démocratique français. Implantation dans les mosquées, influence croissante dans l’éducation, le sport ou encore les réseaux associatifs : l’idéologie frériste poursuit une stratégie d’« entrisme » méthodique.

Portée par l’alliance improbable du « wokisme » et de l’islamisme, une nouvelle politique identitaire gagne l’Europe : sous couvert de progressisme, des partis confessionnels mobilisent l’électorat musulman comme un bloc, menaçant la cohésion démocratique du continent.

Mohamed Louizi et Karim Maloum réagissent au rapport gouvernemental sur les Frères musulmans : l’un déplore des angles morts et des mesures timorées, l’autre appelle à une riposte globale et coordonnée contre l’entrisme islamiste.

C’est une première mondiale depuis la prise de pouvoir des talibans en 2021 : la Russie a officiellement reconnu jeudi l’Émirat islamique d’Afghanistan.

Le nouveau régime piétine les droits et la sécurité des minorités religieuses, des femmes, des artistes, des auteurs, des journalistes et des laïcs, tout en renforçant les groupes islamiques radicaux.

À moins d’un an des élections municipales, les tractations se multiplient en coulisses, notamment à gauche. Le Parti socialiste d’Olivier Faure semble prêt à renouer avec ses anciens alliés dans certaines communes, quitte à fermer les yeux sur des compromis idéologiques. La campagne de 2026 pourrait être marquée par le clientélisme et des pressions liées à l’entrisme islamiste.

Pour l’islamologue, la disparition du régime religieux iranien aurait un impact similaire à celui de la chute du Mur de Berlin sur l’islamisme à travers le monde.

Pour faire face à l’islamisme, il faut le connaître, le diagnostiquer, et c’est ce que l’école française, qui s’est répandue dans le monde anglo-saxon, n’a pas su faire en coupant l’islamisme de ses origines théologiques et historiques. Razika Adnani, philosophe, spécialiste de l'islam, du monde arabe et du Maghreb, vient de publier « Sortir de l’islamisme » aux éditions ‎ Erick Bonnier.

Invité de L’Heure des Pros 2 WE ce samedi 24 mai sur CNEWS, le journaliste Jean-Sébastien Ferjou a réagi au rapport consacré aux Frères musulmans en dénonçant l’impossibilité d’un débat serein sur l’islamisme en France. « Dès qu’on parle d’islamisme, on est traité d’islamophobe, voire de raciste », a-t-il regretté. Un constat amer pour celui qui alerte depuis plusieurs années sur les dérives communautaristes. Pour Jean-Sébastien Ferjou, cette disqualification systématique par l’accusation morale empêche de poser les termes d’un débat pourtant essentiel à la cohésion nationale

Dans un sondage Ifop intitulé « Le rapport des Français à l’islam, à la laïcité et à la menace terroriste » de 2022, les Français répondaient à 79 % qu’il existe une distinction claire entre « les musulmans les plus radicaux et ceux qui pratiquent paisiblement l’islam ».

L’ex-Premier ministre veut interdire le port du voile aux fillettes et ça donne des vapeurs au député Fi Thomas Portes.

Le réseau social est accusé dans une note confidentielle du ministère de l’Intérieur, d'être devenu « l’un des viviers d’audiences les plus conséquents » des intégristes islamistes.

Le ministère de l’Intérieur a diffusé une 1ère version du rapport choc documenté par les services de renseignement sur l’entrisme des Frères musulmans dans laquelle sont pointées de nombreuses défaillances de l’appareil d’Etat. Comment échapper à la logique qu’avait décrite Michel Houellebecq dans Soumission ?

Les 73 pages de ce rapport rédigé par les services de renseignement à l'attention Bruno Retailleau démontrent une situation dramatique pour la France, en proie à un entrisme islamique généralisé.