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La récente élection de l’Assemblée nationale a vu les verts obtenir 23 députés. L’échec de la proposition de Jean-Luc Mélenchon de constituer un seul et même groupe parlementaire pour la NUPES a conduit ces derniers à constituer leur propre groupe parlementaire.

Depuis sa création en 1972, le RN (ex-FN) n'a cessé d'avoir une place à part dans la vie politique française. L'obtention d'un groupe parlementaire suite aux élections législatives pourrait-il changer la donne ?

L'ex-candidat à la présidentielle veut constituer son propre groupe parlementaire à l'Assemblée nationale.

Trois groupes pour le centre, entre Modem, UDI et constructifs se placent pour servir au mieux le nouveau maître de l'Elysée. Mais dans leur cas, l'union pourrait faire la force face à un groupe LREM unique et hégémonique.

D'après un sénateur socialiste, cité par France info, entre 17 et 18 parlementaires socialistes pourraient décider de rejoindre ce groupe.

On ne connait pas encore le nom du Premier ministre, mais certaines rumeurs se font plus persistentes que d'autres. Cependant, l'enjeu aujourd'hui pour Emmanuel Macron et son équipe est de se sortir de l'imbroglio des législatives, afin de pouvoir appuyer son futur gouvernement.

D'après Médiapart, les parlementaires UMP Gilles Carrez, Jean-François Lamour et Etienne Blanc l'ont découvert quand ils ont été missionnés fin juin pour éplucher la comptabilité du groupe mais se sont bien gardés de révéler quoi que ce soit.

Christian Jacob, le patron des députés UMP, a confirmé samedi soir cette information de Mediapart.

La percée du FN aura eu pour effet de priver les autres partis d'un certain nombre de députés au Parlement européen, ce qui porte un coup à la crédibilité de la France comparable à celui du 21 avril 2002.

En remettant entre les mains du Congrès la décision d'une intervention en Syrie, le président américain repousse à nouveau la date d'une opération à laquelle il ne semble pas vraiment favorable.