Contenus en rapport avec le mot-clé géopolitique

Avec l'arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche, l'Europe parviendra-t-elle à s'imposer face aux États-Unis sur le plan diplomatique et géopolitique ?

Alors que l'économie chinoise s'effrite, que les tensions sociales augmentent et que Donald Trump est sur le point d'entrer à la Maison Blanche, l'année à venir sera pleine de difficultés pour Pékin.

Au 1er janvier 2025, la présidence tournante de l’UE est revenue à la Pologne.

L'affaiblissement de l’Iran au Moyen-Orient va obliger la Chine à développer des liens plus étroits avec d’autres nations de la région, y compris l’Arabie saoudite.

Révolution de la Dignité, guerre en Ukraine, attentats du 11 septembre, renversement du statut quo... Les 25 dernières années ont été particulièrement chargées, géopolitiquement parlant. Récapitulatif.

La Syrie étant sortie de l’échiquier géopolitique avec la chute de Bachar el-Assad, la Turquie est aujourd’hui en train d'occuper un rôle majeur dans le cadre de cette crise et sur la scène internationale.

Beaucoup d’Etats ou d’acteurs géopolitiques profitent du vide offert par l’interrègne Biden/Trump pour avancer leurs pions ou consolider leurs positions avant que Donald Trump n’entre vraiment en scène.

Trump n’est pas encore élu et déjà le monde entier se recadre, se prépare, s’adapte.

L'émergence de nouvelles puissances géopolitiques contribue-t-elle à diluer l'influence de l'Europe ?

Différents partenaires de l’Europe ont décidé de participer au sommet des BRICS. Selon Charles Michel, le président du Conseil européen, le choix de ces pays de s'afficher à Kazan en compagnie de la Russie constitue un message envoyé à l'Occident. Quelle est la place occupée par l'Europe en tant qu'entité géopolitique ?

Dans quelle mesure les mandats d’Emmanuel Macron ont-ils été caractérisés par une succession de dénis sur l’essentiel des sujets, du régalien au budget, à l’économie et même jusqu'aux questions géopolitiques ?

« Rien, aucune aventure régionale, aucun intérêt privé, aucune fidélité à quelque cause que ce soit ne mérite de déclencher un conflit au Liban », a déclaré Emmanuel Macron, dans une vidéo publiée sur X hier soir.

Jean-Sébastien Ferjou, directeur d'Atlantico, à propos des commémorations du Débarquement sur fond de conflits : « Nous sommes dans des guerres hybrides et la guerre n'est pas juste à éviter. En réalité, elle est déjà là ».

La stratégie de Poutine décortiquée.

La BCE veut tellement montrer qu'elle est indépendante qu’elle est dans une logique de « sadomonétarisme » qui est une perversion du monétarisme d'origine.

La peur constitue, en politique au moins, un moyen très efficace pour influencer les comportements électoraux.

L’analyse du changement fondamental du monde au travers de trois nœuds géostratégiques.

La portée de l'Occident s'amenuise et son objectif de répandre la démocratie libérale échoue.

Les frappes sur les milices houthies ajoutent à la colère des électeurs musulmans ou de certaines catégories de démocrates contre la politique américaine au Moyen-Orient.

Les Chinois sont venus nombreux à Davos avec une stratégie claire : renforcer leur pression géopolitique et confirmer leur impérialisme sur Taïwan pour compenser leur panne de croissance historique depuis 30 ans. Pour les Occidentaux, c’est à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle.