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Alors que l'accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas entre dans sa quatrième semaine, l'attention se porte désormais sur sa deuxième phase, plus difficile.

Le cessez-le-feu à Gaza est le fruit d’âpres négociations, concernant notamment la libération des otages israéliens capturés le 7 octobre ainsi que celles des détenus palestiniens. A date, trois otages israéliens ont été libérés contre 183 prisonniers palestiniens… mais l’état de santé des premiers est inquiétant.

Les déclarations de Donald Trump sur un projet d’occupation américaine de la bande de Gaza et le transfert des Palestiniens qui y vivent sont « dangereuses pour la stabilité et pour le processus de paix », a aussi déclaré la porte-parole du gouvernement Sophie Primas, ce mercredi.

Lors de sa rencontre avec le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, le président américain a répété qu’il voulait vider le territoire palestinien de ses habitants, avant d’évoquer « une situation de propriété sur le long terme » des États-Unis.

Après le cessez-le-feu déclenché dimanche matin, un premier échange a eu lieu entre trois otages israéliens et 90 détenus palestiniens. D’après le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, les deux otages français encore retenus à Gaza sont sur la liste des échanges.

L'accord de cessez-le-feu est officiellement entré en vigueur ce dimanche à Gaza. Trois otages vont être libérées ce dimanche. De nouvelles libérations sont prévues dans les semaines à venir.

« Il y a un million de morts à Gaza » suggère en substance Marine Tondelier entre deux considérations sur les dangers des fake news sur Twitter.

Donald Trump a réitéré ses menaces contre le Hamas si les otages ne sont pas libérés d’ici le 20 janvier.

Le nombre probable de tués estimé par l'étude publiée dans « The Lancet » est de 64 260 morts dans le territoire palestinien, entre octobre 2023 et juin 2024.

Mardi, le Qatar, qui joue le rôle de médiateur entre Israël et le Hamas, a affirmé, de son côté, que les discussions sur une trêve dans la bande de Gaza se poursuivaient à un niveau « technique ».

Le site du quotidien britannique The Telegraph publiait le 14 décembre dernier un article intitulé « Le nombre de civils tués à Gaza a été gonflé pour diffamer Israël ».

Le ministre des Affaires étrangères israélien a justifié sa décision au regard des initiatives « anti-israéliennes » de Dublin, comme la reconnaissance de l’État de Palestine.

A la fin du mois de juillet, trois médiateurs (le chef du renseignement américain, le chef des services égyptiens et le Premier ministre du Qatar) pensaient être sur le point de parvenir à un accord pour empêcher l’expansion du conflit au Moyen-Orient.

L'idée d'organiser des élections palestiniennes semble bien lointaine compte tenu des destructions et de la crise humanitaire actuelles, en particulier dans la bande de Gaza.

Lors d’une interview accordée pour le premier anniversaire du 7 octobre, l’ancien président des États-Unis a considéré que la bande de Gaza pourrait devenir « la meilleure chose au Moyen-Orient » après sa reconstruction.

Au début, les Palestiniens espéraient que cette guerre, comme les conflits précédents à Gaza, prendrait fin rapidement. Un an plus tard, cet espoir s’est totalement estompé.

Le guide suprême iranien, Ali Khamenei, a prévenu que ses alliés, le Hezbollah libanais et le Hamas, poursuivraient le combat contre Israël. La stratégie de l'Iran a-t-elle évolué suite à la mort de Hassan Nasrallah ?

Les attaques du 7 octobre ont bouleversé la société israélienne. Plus de 1.200 personnes sont mortes en Israël lors des massacres perpétrés par les membres du Hamas.

Un an après les massacres du 7 Octobre, près d'une centaine d'Israéliens sont toujours retenus à Gaza. Les familles des otages manifestent chaque semaine à Tel-Aviv dans l'espoir de retrouver leurs proches.

Le président de Sciences Po Paris a décidé de saisir la justice après des manifestations hostiles à Israël au sein de l’institut.