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A la suite de l'élection de Donald Trump, la monnaie iranienne, le rial, est tombée à un niveau historiquement bas le 6 novembre, s’échangeant à plus de 700 000 rials pour un dollar. 

Dans l'histoire de l'économie moderne, la performance des Etats-Unis depuis 30 ans est assez remarquable.

Le cours de l'or continue à monter. Jusqu'où va-t-il aller ?

Selon les données publiques officielles, le taux d'insécurité alimentaire aux États-Unis a atteint 13,5 % en 2023 -soit un Américain sur 8 et 47 millions de personnes concernées- en raison de la baisse des prestations publiques et de la flambée des prix des denrées alimentaires.

Le gouverneur de la Banque du Japon, Kazuo Ueda, a averti que les marchés mondiaux restaient instables et a réaffirmé son engagement à relever les taux d'intérêt si l'inflation et la croissance économique du pays restaient sur la bonne voie.

10 000 milliards, c’est le montant envisagé par l’Europe pour un éventuel méga plan de relance de nature à contre-balancer les effets de celui déployé par Joe Biden aux États-Unis. 

Alors que le pétrole brut est revenu à ses prix les plus bas cette année, la demande en Chine a évolué au regard de la crise dans le secteur de la construction.

Les derniers chiffres boursiers sont au plus haut. S'agit-il d'une bulle ?

Le dollar a connu des meilleurs jours. Mais n'est-il pas lui-même la cause de cette situation ?

Le processus de "dédollarisation" est souvent évoqué par les experts, mais les dernières données montrent avant tout qu'il y a une certaine "dé-euroïsation".

Alors que le Mexique vient de dépasser la Chine comme premier partenaire commercial des États-Unis, la politique de relocalisations vers des pays amis, souhaitée par la Maison Blanche, commence à produire ses effets.

La forte contraction de la masse monétaire et les difficultés dans les secteurs du crédit et de l’immobilier devraient-elles nous alarmer ?

De nombreux automobilistes se sont arrêtés pour ramasser des billets de 100 dollars jetés par un individu dans l'Oregon.

En 1990, les États-Unis représentaient un quart de la production mondiale, aux taux de change du marché. Trente ans plus tard, cette part est pratiquement inchangée malgré la montée en puissance de la Chine. Et l’économie américaine représente aujourd’hui 58 % du PIB du G7 contre 40 % en 1990.

Charles Laval publie "Le grand livre de l’escroquerie" chez Le Passeur éditeur. Au fil des pages se dévoile l'incroyable ingéniosité des escrocs autant que la naïveté et la cupidité de certaines de leurs proies... Cet ouvrage est aussi un guide, car nous sommes tous des victimes en puissance. Extrait 1/2.

Dominic Rohner vient de publier "Nation Building: Big Lessons from Successes and Failures" avec Ekaterina Zhuravskaya pour le compte du Centre for Economic Policy Research.

Des économistes américains ont mesuré l’impact qu’ont sur leurs partenaires commerciaux les resserrements monétaires décidés aux États-Unis.

Depuis la seconde guerre mondiale, les USA utilisent le privilège du dollar pour faire en sorte que leur dette soit achetée par les grands pays du monde afin de garantir leurs propres monnaies, mais les temps changent peut-être.

Une banque ne fait jamais faillite par hasard. Les autorités américaines sont intervenues très vite pour étouffer le début d’incendie en Californie, le Crédit suisse se cherche des actionnaires. Les banques européennes ne craignent que la panique de leurs clients.

Selon Jerome Powell, le directeur de la toute puissante FED, l'inflation de son pays ne provient qu'en partie de la guerre en Ukraine mais plutôt des tensions sur le marché du travail.