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Donald Trump a réitéré ses menaces contre le Hamas si les otages ne sont pas libérés d’ici le 20 janvier.

Avec l'arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche, l'Europe parviendra-t-elle à s'imposer face aux États-Unis sur le plan diplomatique et géopolitique ?

Donald Trump aurait-il adopté une stratégie différente d'Emmanuel Macron s'il avait fait face aux humiliations qu’impose l’Algérie à la France ? Faut-il revenir à une ligne diplomatique plus inspirée par la realpolitik ?

Si la Commission européenne n'en est pas capable, le chef de la diplomatie française, Jean-Noël Barrot, demande qu'elle "rende aux États membres la capacité de se protéger eux-mêmes".

Emmanuel Macron a fait référence lors d’une allocution devant les ambassadeurs français au soutien continu du milliardaire américain au parti d’extrême droite allemand Alternative für Deutschland (AfD).

L'affaiblissement de l’Iran au Moyen-Orient va obliger la Chine à développer des liens plus étroits avec d’autres nations de la région, y compris l’Arabie saoudite.

Jeudi 19 décembre se déroulait un Conseil européen à Bruxelles, auquel Emmanuel Macron n'a pas pu assister. Il a en effet été remplacé par Olaf Scholz, le chancelier allemand, en raison d'un déplacement à Mayotte.

Le ministre des Affaires étrangères israélien a justifié sa décision au regard des initiatives « anti-israéliennes » de Dublin, comme la reconnaissance de l’État de Palestine.

Selon Kaja Kallas, la nouvelle cheffe de la diplomatie européenne, les premiers signaux provenant des forces rebelles syriennes seraient "bons", mais il est "trop tôt" pour rendre un verdict.

Le ministre des Affaires étrangères tchadien, Abderaman Koulamallah a affirmé que cette décision était « mûrement réfléchie ».

L’ancien chef de l’Etat français estime que Donald Trump va obliger l’Ukraine à céder à Moscou les territoires ukrainiens partiellement occupés par l’armée russe.

La semaine passée, le gouvernement israélien aurait remis un document pour permettre aux civils déplacés des deux côtés de la frontière de rentrer chez eux, selon le site américain Axios.

A la fin du mois de juillet, trois médiateurs (le chef du renseignement américain, le chef des services égyptiens et le Premier ministre du Qatar) pensaient être sur le point de parvenir à un accord pour empêcher l’expansion du conflit au Moyen-Orient.

Cette conférence, souhaitée par Emmanuel Macron, visera à « mobiliser la communauté internationale pour répondre aux besoins de protection et de secours d’urgence de la population du Liban ».

Le Premier ministre israélien a critiqué les déclarations du chef de l’Etat français et aux dirigeants qui défendent le projet d’un embargo sur la livraison d'armes à Israël.

Lors de son discours à l'ONU, le message d'Emmanuel Macron n'a pas permis d'apporter des solutions aux défis qui se posent pour la diplomatie française face à la stratégie féroce de certains pays.

Sur une initiative de la France et les États-Unis, plusieurs pays, avaient appelé à un cessez-le-feu de vingt et un jours au Liban.

Tandis qu’Israël poursuit sa campagne de bombardements contre le Hezbollah, qui a fait plus de 600 morts depuis lundi, les diplomates occidentaux s’activent pour ouvrir la voie à un règlement négocié de cette crise.

Vendredi dernier, Washington avait soumis une proposition de compromis pour une trêve lors de négociations à Doha. Antony Blinken a affirmé que Benyamin Netanyahou avait « accepté » ce plan et a appelé le Hamas à « faire de même ».

Emmanuel Macron a multiplié les contacts avec les dirigeants du Moyen-Orient afin d'empêcher une escalade dans la région. La France ne parvient pas à jouer un rôle dans la crise entre le Liban et Israël.