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Le tribunal judiciaire de Paris a validé, ce vendredi 17 décembre, un accord conclu avec le groupe LVMH, qui a accepté de payer 10 millions d'euros. Le groupe de luxe a accepté ce paiement pour éviter des poursuites dans l'enquête sur un système d'espionnage, dans lequel serait impliqué l'ancien patron du renseignement intérieur Bernard Squarcini.

Une ancienne conversation privée entre Nathalie Kosciusko-Morizet et l'ex-chef du renseignement, Bernard Squarcini a déclenché la colère de Rachida Dati.

Frédéric Péchenard est un ancien patron de la police nationale, aujourd'hui directeur général du parti Les Républicains. Il soutient Bernard Squarcini et Christian Flaesch, placés en garde à vue pour trafic d'influence.

Les motifs de la garde à vue de Bernard Squarcini n'ont pas été précisés.

Mais aussi l'interview "hors promo" de Houellebecq, la pétition des laïcs musulmans, l'unité de "désembrigadement" la Maison de la prévention et de la famille, le "problème Cazeneuve", la "solution Squarcini", la "préconisation Filiu", la drôle d'histoire du kiosquier de Cabu et Wolinski et, et, et... le mot de Régis Debray sur notre propre responsabilité !

La somme que devra verser l'ancien patron de la Direction centrale du renseignement intérieur sera répartie entre le journal Le Monde et le Syndicat national des journalistes.

L'ancien patron du renseignement intérieur se dit également "effaré par la naïveté déconcertante" du gouvernement français.

En plein scandale sur les écoutes américaines, Le Monde révèle les méthodes des services secrets extérieurs français pour nous espionner.

A trois jours du premier tour, “ Le Nouvel Obs ” et “ VSD ” se fendent de deux énormes scoops. Attention, c’est du très très lourd !

Dans "L'espion du Président, au coeur de la politique Sarkozy", la Direction centrale du renseignement intérieure, loin d'être le FBI projeté à sa création, est décrite comme une officine instrumentalisée par son chef (Bernard Squarcini) au service de l'Élysée. Les extraits du livre d'Olivia Recassens, Didier Hassoux et Christophe Labbé.

C'est ce jeudi que sort le livre "L’espion du président" qui entend dénoncer "la police politique de Sarkozy" mise en place au sein de la DCRI, le "FBI français". L'un des trois auteurs du livre, Didier Hassoux, explique sa démarche et lâche quelques révélations.

Avant de devenir le patron de la DCRI (Direction centrale du renseignement intérieur), Bernard Squarcini était préfet de police. L'occasion de nouer des liens avec les controversés frères Guérini. Seconds extraits de "L'espion du président, au cœur de la politique Sarkozy".

Chaud, devant ! Y’a le feu à la maison poulaga ! Pas la petite, la Grande, celle du renseignement, “ instrumentalisée au profit du pouvoir ”, d’après un doc incendiaire, à paraître aujourd’hui. De quoi chauffer l’Elysée ? Oui, da, et pas qu'un peu. Mais il n’y a pas que ça : il y a aussi DSK…

Le magistrat a indiqué qu’il contestait "vigoureusement sur la forme et sur le fond" cette décision de justice.

La Cour de cassation a estimé que le magistrat a bel et bien enfreint la loi sur la protection des sources des journalistes.

Après les affaires Neyret à Lyon et du Carlton de Lille, impliquant des hauts gradés français, l'image du milieu policier est bien amochée...