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De par certaines déclarations de ses membres, la BCE redéfinit-elle son mandat par des sophismes grossiers sur l’environnement et la nature ?

Le rapport Draghi sur la compétitivité européenne a - enfin - été publié. Qu'en retenir ?

Les mesures annoncées par Michel Barnier pour réduire les dépenses publiques vont-elles nuire à la croissance ? La France aura-t-elle structurellement des difficultés économiques tant que la BCE ne changera pas de stratégie ?

Le diagnostic formulé par Mario Draghi sur l’avenir de l’Union européenne est terrible, mais les dirigeants européens l’ont accueilli dans une presque totale indifférence. Sauf dans les milieux d’affaires, qui considèrent que ce qui va se passer en Europe est terrifiant.

La Banque centrale européenne a annoncé jeudi 12 septembre une nouvelle baisse de ses taux directeurs de 25 points de base, qui passe ainsi à 3,5 %.

En abaissant son taux de référence, la BCE va alléger les conditions d’emprunt. De quoi donner un peu d’air pour apaiser les tensions sur le crédit immobilier et les prêts aux entreprises.

Entre l’Insee à Paris qui baisse les yeux, les consommateurs qui se figent, les chefs d’entreprises qui retiennent leurs projets, Mario Draghi à Bruxelles qui s’énerve et la BCE qui va desserrer les taux, Michel Barnier a l'opportunité de réussir à condition de rétablir la stabilité politique.

10 000 milliards, c’est le montant envisagé par l’Europe pour un éventuel méga plan de relance de nature à contre-balancer les effets de celui déployé par Joe Biden aux États-Unis. 

La BCE appelle les gouvernements des pays de la zone euro à améliorer « immédiatement » leurs finances publiques face aux risques sur le long terme liés au vieillissement démographique, à l'augmentation des dépenses de défense, au climat et au numérique.

La BCE s'apprête à sanctionner financièrement des banques pour leur incapacité à faire face à l'impact du changement climatique.

Atlantico a demandé à 6 de ses contributeurs et experts ce que l’Europe nous a apporté pour le pire comme pour le meilleur à leurs yeux respectifs.

La Banque centrale européenne a annoncé jeudi une réduction de 25 points de base de ses trois taux directeurs.

Les élections européennes vont sans doute confirmer la montée d’une extrême droite partout en Europe, mais ne faciliteront pas la gouvernance de l’UE. Mario Draghi est donné comme successeur probable d'Ursula von der Leyen.

Les taux de la Banque centrale européenne vont baisser de 0,25 point, mettant fin à des hausses continues depuis l’été 2022. Le taux de dépôt est ainsi ramené de 4% à 3,75%.

Les débats organisés entre les têtes de liste des élections européennes ont révélé les failles des candidats sur les questions économiques.

Emmanuel Macron, en visite d’État en Allemagne à partir de demain soir, aura trois jours pour essayer de restaurer l'équilibre d'une relation qui a permis jadis de construire l'Union européenne mais qui est aujourd'hui presque en instance de divorce.

On parle toujours du seuil de 2% d'inflation. Mais d'où vient-il et est-il encore d'actualité ?

Mario Draghi admet que la stratégie économique adoptée par l'Union européenne après la crise de la dette souveraine, caractérisée par une diminution des salaires et des mesures d'austérité, a en réalité réduit la demande intérieure. Cette approche a exacerbé la crise et mis en péril le modèle social.

La BCE veut tellement montrer qu'elle est indépendante qu’elle est dans une logique de « sadomonétarisme » qui est une perversion du monétarisme d'origine.

La Banque centrale européenne laisse ses taux inchangés pour la cinquième réunion consécutive. Elle laisse pourtant entendre qu'elle pourrait bientôt « réduire le caractère restrictif actuel de la politique monétaire ».