Les dissonances cognitives affrontent un décalage entre représentation mentale et action. D'après Jean-Michel Besnier, l'épidémie de coronavirus aura dérouté plus d'un esprit rationnel.
14 juillet 2020Le Réseau Atlantico
Best-Of du 2 au 8 novembre
Jean-Michel Besnier est professeur d'Université à Paris-Sorbonne, auteur de Demain les posthumains (2009) et de L'homme simplifié (2012) aux éditions Fayard.
Les dissonances cognitives affrontent un décalage entre représentation mentale et action. D'après Jean-Michel Besnier, l'épidémie de coronavirus aura dérouté plus d'un esprit rationnel.
A l’occasion de la crise sanitaire du Covid-19, sommes-nous toujours autant rationnels ? La crise sanitaire peut-elle provoquer une crise de confiance globale en ce que nous sommes ?
28 mai 2020Selon une étude publiée dans le journal de l'American Economic Association, le nombre de chercheurs ne fait qu'augmenter, mais pas celui des découvertes.
3 mai 2020Après le rachat de CTRL-Labs, entreprise spécialisée dans l’interface cerveau-machine, Mark Zuckerberg affirme dans une interview au Point que l’enjeu du développement des interfaces cerveau-machine est « de créer une plateforme qui permette à l'humain de s'exprimer de manière plus fluide ».
Une portion mince mais croissante d'articles issus de recherches scientifiques contient des résultats faux, biaisés ou manipulés intentionnellement, d'après de nouvelles données publiées par le Washington Post.
Editer le génome de porcs, le remplacer par des cellules souches omnipotentes humaines, et cultiver un organe humain pour le transplanter... Une technique qui s'avère possible sur le plan théorique, et qu'une équipe de chercheurs souhaite peaufiner.
Mutations génétiques, prolifération nucléaire, obsession du rationnel... De nombreuses dérives liées à la technologie (mais pas que) risquent de déstabiliser l'avenir. Et si ces dernières sont visibles comme un éléphant dans un couloir, la société n'est pas forcément préparée à les affronter.
22 mars 2015Cette année, Bill Maris, l'homme à la tête de Google Ventures, le fonds de placement de l'entreprise chargé d'investir dans les jeunes start-ups digiales, disposera de 425 millions de dollars à placer où il veut. Son objectif : les start-ups qui travaillent sur des méthodes de prolongation de la vie. Le but : tuer la mort.
11 mars 2015