Les classiques de l’étude de l’opinion comme les instituts, les panels et les quotas, avaient une légitimité au 20ème siècle, mais doivent être aujourd’hui remis en cause.

© BORIS HORVAT / AFP
TRIBUNE
24 décembre 2021
Pour comprendre l’opinion au 21ème siècle, il faut sacrifier les vieilles méthodes
En termes d’étude de l’opinion, les exigences des entreprises ont changé. Priorité désormais aux études marketing conduites dans des délais courts et connectées aux autres indicateurs de performance. Dans ce nouveau contexte, le vecteur numérique s’est logiquement imposé comme un terrain d’opportunités. Une bonne nouvelle, à condition de s’affranchir de certains marronniers méthodologiques qui n’y ont pas leur place.
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MOTS-CLES
démocratie , opinion , sondage , calcul , marketing , données , chiffres , technologie , France , Vote , élection présidentielle de 2022 , 2022 , citoyens , électeurs , intentions de vote , abstention , prévisions , algorithme , Big data , Internet , biais , High-tech , numérique , entreprises , classe politique , données personnellesTHEMATIQUES
France A PROPOS DES AUTEURS 
Tarek Ouagguini est CEO et co-fondateur d’Happydemics.
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