Contenus en rapport avec le mot-clé Syriza

Après de premières élections remportées mais sans majorité, Kyriakos Mitsotakis réussit son pari grâce au nouveau mode de scrutin instauré pour l'occasion, obtenant une "prime de sièges" lui évitant un gouvernement de coalition avec la gauche.

Lettre de Londres mise en forme par Edouard Husson. Nous recevons régulièrement des textes rédigés par un certain Benjamin Disraeli, homonyme du grand homme politique britannique du XIXe siècle.

Les négociations semblent se passer correctement pour les Grecs. Après une nette hausse de la bourse athénienne, le Premier ministre a voulu rassurer ses compatriotes en leur affirmant que la fin de la tragédie n'était plus loin.

François Hollande est arrivé jeudi 22 octobre à Athènes pour une visite officielle de deux jours placée sous le signe de "l’amitié et de la confiance" franco-grecque, selon l’entourage présidentiel.

La victoire d'Alexis Tsipras marque une nouvelle étape dans la progression des mouvements populistes européens et relance le débat entre raisonnables et radicaux au sein de l'Union.

"Ce sera un gouvernement de quatre ans avec une forte majorité parlementaire, qui mettra en œuvre le programme promis", a déclaré la porte-parole de Syriza.

7 ans après la grande crise de 2008, l'échiquier politique européen est bouleversé par de nouvelles forces politiques radicales, parfois nationalistes et populistes. Au-delà de la crise, tout le système bascule.

Alexis Tsipras veut que les élections anticipées du 20 septembre lui donnent un "mandat fort" pour les quatre prochaines années.

Il y a du mouvement chez les extrémistes mais le hic, c'est que même les experts ne savent pas quoi en penser.

Et si la solution se trouvait en France ? En menant une politique économique audacieuse, François Hollande pourrait insuffler à l'Europe la confiance nécessaire à un nouveau dynamisme.

L'ancien ministre des Finances grec se livre dans une tribune publiée dans le numéro d'août du Monde Diplomatique et raconte comment il a vécu les six mois de négociations avec Bruxelles.

Yanis Varoufakis vient, à la surprise générale, de voter le second volet des réformes voulues par les créanciers de la Grèce. Un rétropédalage illustrant, encore une fois, qu'en politique tout est permis.

Passées les deux échéances du 20 et du 22 juillet, le prêt sera déjà bien épuisé et il va être temps de prévoir l'arrivée inévitable de la prochaine crise qui se profile.

A l'aube d'un weekend majeur pour la zone euro, les députés grecs ont largement soutenu la feuille de route d'Alexis Tsipras.

Le gouvernement de Syriza a finalement repris la quasi-totalité des demandes formulées le 26 juin dernier par la BCE et le FMI.

Un premier contingent transalpin est passé. Ce n’est qu’un début, continuons le combat…

Les Grecs étaient appelés aux urnes pour voter pour ou contre les réformes proposées par les créanciers du pays. Ils ont tranché.

L'Union européenne fait face à une crise qui se prolonge et pour laquelle elle ne semble pas avoir les réponses adéquates.

Certains proches d’Alain Juppé n’hésitent pas à condamner l’initiative de référendum prise par Athènes. Plus difficile pour Nicolas Sarkozy, qui a fait de ce recours l'un des piliers de son nouveau logiciel idéologique.

En contrepartie, les créanciers souhaitaient que la Grèce mette en place un nouveau "package" de réformes, incluant notamment une nouvelle baisse des retraites et le refus de la demande de Syriza de pouvoir apporter un soutien aux retraités les plus pauvres.