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Une augmentation des cas est observée dans de nombreux pays. Un nouveau sous-variant, Eris, pourrait rapidement devenir majoritaire.

Alors que nous semblons être à l'aube d'une 9ème vague de Covid-19, à quoi faut-il vraiment s'attendre si nous sommes tous omicronés cet hiver ?

Des nouveaux variants du Covid-19 gagnent du terrain dans le monde, faisant craindre une vague hivernale.

Après une infection par le Covid, même de manière bénigne, des symptômes infectieux sévères peuvent intervenir.

Après une période d'accalmie, la France enregistre depuis plusieurs jours une hausse des contaminations liées au Covid-19.

La Haute Autorité de santé recommande qu'une dose de rappel soit administrée avec ces vaccins bivalents aux personnes de plus de 60 ans ainsi qu'aux plus fragiles pour freiner la de la Covid-19.

La France, pays de Pasteur, n'a pas réussi pour l'instant à se doter d'un vaccin contre la Covid-19. La France a été dépassée dans ce domaine par l’Allemagne, le Royaume-Uni, les Etats-Unis, la Russie et la Chine.

Le Sars-CoV-2 a été particulièrement imprévisible avec ses nombreuses mutations. Face aux variants, les chercheurs et les laboratoires ont tenté de faire évoluer les vaccins pour obtenir une meilleure protection et une efficacité renforcée. Le Covid-19 pourrait devenir une maladie qui, à l'instar de la grippe, nécessitera des mises à jour régulières du dispositif vaccinal.

Les réinfections au Covid-19 sont en forte augmentation ces dernières semaines, selon les données de Santé publique France publiées vendredi 8 juillet. Elles représentent désormais 12% des nouveaux cas dans l'Hexagone

BA 2.12.1. C'est l'un des petits derniers de la famille Omicron et il s'est répandu comme une traînée de poudre aux États-Unis. Voilà ce qu'il faut savoir à son sujet

Selon une nouvelle étude menée par des scientifiques de l’Imperial College, le fait d’avoir été contaminé par Omicron ne permet pas d'être protégé et de se prémunir contre une réinfection au Covid-19.

Alors que les restrictions sur le Covid-19 ont été allégées dans les transports en commun, de nombreuses personnes, même déjà infectées par le passé, vont faire face au virus. Quel est le risque de transmission, alors qu'Omicron et ses nombreux sous-variants se propagent partout dans le monde ?

Depuis que l’état n’est plus à la manœuvre, quoi qu’on pense de ses décisions, la Covid-19 est devenue une infection respiratoire comme d’autres c'est-à-dire prise en charge par le système de soins.

Deux séries de chiffres, ce week-end, qui en disent plus que les longs discours sur la crise. La croissance est en berne en Europe, alors que Gazprom, premier producteur de gaz au monde, continue de nager dans les profits.

Le petit pays de l'océan Pacifique s'est complètement isolé du reste du monde au début de la pandémie et n'a enregistré son premier cas de coronavirus qu'en décembre dernier.

Un citoyen britannique a été testé positif pendant plus d’un an.

Alors que la guerre en Ukraine masque la 6e vague qui s’abat sur l’Europe, le sujet des conséquences des réinfections et de la faible efficacité vaccinale face aux nouveaux variants demeure essentiel.

Ce confinement a été décidé après le signalement de 66 nouveaux cas de coronavirus.

Alors que les hospitalisations repartent à la hausse dans de nombreux pays d'Europe et que l'heure est à la levée des restrictions sanitaires, le port du masque demeure l'une des meilleures protections pour réduire le risque de contamination en lieux clos

Omicron et l'arrivée du sous-variant BA.2 reposent la question du risque de réinfection à la Covid-19. Les personnes touchées par la souche Delta risquent-elles d'être contaminées par le variant BA.2 ?