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Alors qu’Emmanuel Macron doit dévoiler ce vendredi 10 octobre le nom de son nouveau Premier ministre, la piste d’une reconduction de Sébastien Lecornu n’est toujours pas écartée.

Au lendemain de la démission express de Sébastien Lecornu, l’ancien Premier ministre Gabriel Attal a publiquement exprimé son désarroi face à la stratégie du chef de l’État. Alors que la France s’enfonce dans une impasse institutionnelle, il appelle à « changer de méthode » et à « partager le pouvoir ».

Le chef de l'Etat a demandé au Premier ministre de former son gouvernement avant dimanche soir.

Emprisonné en Algérie depuis novembre 2024, l’écrivain Boualem Sansal rejette avec force sa nomination au Prix Sakharov par le groupe d’extrême droite au Parlement européen dirigé par Jordan Bardella. Une récupération politique jugée « insidieuse » par son entourage et dénoncée par son éditeur Gallimard.

La récente nomination de Najat Vallaud-Belkacem à la Cour des comptes, sans concours ni expérience spécifique en audit public, interroge sur une spécificité française : la désignation d’anciens responsables politiques à des postes clés dans de prestigieuses institutions de la République. Cette nomination n’est-elle pas le symptôme plus profond d’un mal structurel bien français ?

Jean-Sébastien Ferjou, le directeur de la publication d’Atlantico, était l’invité de l’émission l’Heure des Pros 2 ce vendredi 23 mai sur CNews.

Dominique Voynet a été placée à la tête du Haut Comité pour la transparence et l’information sur la sécurité nucléaire (HCTISN). Il s'agit d'une nouvelle démonstration des capacités d'entrisme du lobby écologiste au sein des institutions françaises, Dominique Voynet étant une antinucléaire déclarée et offensive. Alors que la France doit effacer une décennie d'errements qui ont failli lui coûter son indépendance énergétique et qui ont empêché la rénovation de son parc nucléaire, cette nomination étonne.

L’ancien président de l’Assemblée nationale, Richard Ferrand, a été officiellement choisi lundi 10 février par Emmanuel Macron pour prendre la suite de Laurent Fabius à la tête du Conseil constitutionnel.

C’est un spécialiste des collectivités territoriales qui a été choisi par le nouveau chef du gouvernement pour devenir son bras droit.

Tandis que son nom était évoqué pour le poste de Premier ministre, Emmanuel Macron lui a préféré Michel Barnier. En cas de censure, le président de la République pourrait à nouveau se tourner vers l’ancien socialiste.

Selon Marine Le Pen, la situation politique « ne peut pas tenir ». Le RN participait ce week-end à la rentrée parlementaire des élus de son groupe à l’Assemblée.

Lors d’un déplacement dans la Marne, le président du Rassemblement national s’est exprimé sur la nomination de Michel Barnier. Selon Jordan Bardella, Michel Barnier est « un Premier ministre sous surveillance démocratique », auquel il accorde « le bénéfice du doute ».

D'après des informations du Monde, le PS pourrait accepter que Bernard Cazeneuve soit nommé Premier ministre. Olivier Faure a néanmoins fait part de ses réticences, évoquant le fait que tout autre candidat que Lucie Castets serait un candidat choisi par la droite.

Selon un sondage Elabe pour BFMTV, 58% des Français estiment qu’Emmanuel Macron ne doit pas nommer Lucie Castets, la candidate du NFP, à Matignon.

Après le retrait de la candidature du président roumain Klaus Iohannis, la voie était dégagée pour Mark Rutte.

Il prend la suite de Pierre-Louis Bras, à qui le gouvernement a demandé de quitter ses fonctions après 9 ans à sa tête pour de bons et loyaux services. Pierre-Louis Bras était reconnu par l'UNSA et la CFDT pour son indépendance d'esprit.

David Lisnard, maire de Cannes, et Nicolas Leblond, maître de conférences de droit privé, plaident dans cette tribune pour une évolution des modalités de recrutement des magistrats.

Le gouvernement a contacté plusieurs personnes pour remplacer Pierre-Louis Bras à la tête du Conseil d’orientation des retraites. Il avait été vivement critiqué par la Première ministre pour avoir minimisé le besoin d’une réforme.

Si l’indifférence apparente d’Ursula von der Leyen à l’autonomie stratégique européenne a été largement soulignée, deux autres problèmes bien plus pernicieux méritent d’être mis en lumière.

La future économiste en cheffe de la direction générale de la concurrence a jeté l’éponge face aux critiques suite à sa nomination.