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Souvent annoncée, la mort de ce combattant n'a jamais pu être confirmée. Et cette fois ?

Pour le moment, le Pentagone ne confirme pas sa mort mais admet l'avoir pris pour cible.

Selon RTL, le ministère de la Défense, qui n'a pas encore confirmé l'information, considère cette information comme "probable, compte tenu du mode opératoire".

Prise au piège pendant vingt-cinq heures dans l'enfer de la prise d'otage massive d'In Amenas, Murielle Ravey, "medic" du site gazier algérien attaqué le 16 janvier 2013, est la seule rescapée française du massacre. Extrait de "In Amenas, histoire d'un piège" (2/2), éditions La Martinière.

Prise au piège pendant vingt-cinq heures dans l'enfer de la prise d'otage massive d'In Amenas, Murielle Ravey, "medic" du site gazier algérien attaqué le 16 janvier 2013, est la seule rescapée française du massacre. Extrait de "In Amenas, histoire d'un piège" (1/2), éditions La Martinière.

"L'entreprise" al-Qaïda envoie également des lettres de remontrance à ses employés récalcitrant.

Plus d'une dizaines de combattants, membres de l'organisation "Les signataires par le sang", auraient menées ces attaques conjointement avec le Mujao

Aqmi affirme avoir exécuté le géopolitologue Philippe Verdon, capturé au Sahel en novembre 2011. Que cette information soit confirmée ou non, elle pose la question du sort des otages français retenus par les djihadistes alors que l'intervention au Nord-Mali se poursuit.

Alors que preuves et déclarations concordantes s'accumulent, le silence de Jean-Yves Le Drian sur la mort des deux plus importants chefs djihadistes du Sahel semble révéler une stratégie toute particulière.

La guerre au Mali s'enlise, les djihadistes ne démordent pas mais les armées françaises et tchadiennes avancent. La guerre est aussi vieille que l'humanité mais ses visages sont multiples.

Des soldats tchadiens ont montré à des journalistes des photographies montrant le cadavre d'un combattant islamiste ressemblant à Mokhtar Belmokhtar.

Un représentant d'Al Qaïda au Maghreb islamique a confirmé à l'agence Sahara Médias la mort d'un de ses chefs, Abou Zeid, tué par un bombardement aérien français. Mais a démenti celle de Mokhtar Belmokhtar.

La France craint que des otages français aient pu être tués durant les combats.

Le chef islamiste Mokhtar Belmokhtar, à l'origine de la prise d'otages à In Amenas, aurait été tué lors d'un raid au Mali contre une importante base djihadiste, selon l'armée tchadienne.

Oussama Ben Laden a longtemps été la cible numéro 1 des Etats-Unis. Il semble que depuis sa disparition, les services secrets aient choisi d'éliminer le leader du terrorisme au Maghreb.

Le porte-parole du djihadiste, Hacen Ould Khalil alias "Joulaybib", a expliqué que la France "paiera son agression contre les musulmans du nord Mali".

Le chef des ravisseurs d'In Amenas a été formé en Afghanistan, puis s'est spécialisé dans la contrebande et les prises d'otages au Sahel et a épousé de nombreuses femmes touaregs.