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Salt, une ville de Catalogne, a été secouée par des nuits de violence au cours desquelles des émeutiers ont affronté la police, mis le feu aux poudres et fait craindre aux habitants d'autres troubles.

Si le calme est revenu sur l’île secouée par plusieurs semaines de violentes manifestations contre la vie chère, les conséquences économiques des émeutes restent encore à chiffrer. Un protocole d’accord a été signé par les principaux acteurs locaux pour baisser les prix des denrées alimentaires, mais son entrée en vigueur est retardée par la censure du précédent gouvernement.

Quelques jours après les violences à Amsterdam entre supporters, de nouvelles émeutes ont eu lieu cette nuit. Un tramway a été détérioré.

« Si cet homme n’était jamais entré au 10 Downing Street », je doute que le problème soit aussi grave qu’il l’est actuellement », selon Robert Bates, directeur de recherche au sein du think tank Centre for Migration Control.

Au nom de la lutte contre « l’extrême droite », les procès contre les émeutiers au Royaume-Uni sont désormais utilisés pour « amplifier le message politique » auprès du reste de la population.

Cette décision a été qualifiée de « ni juste ni morale ».

Il y aura toujours une Angleterre, mais seulement s'il y a des Anglais. Il n'y aura des Anglais que si les Anglais sont prêts à lutter pour leur identité en tant que peuple.

Boualem Sansal revient pour Atlantico sur les émeutes qui secouent le Royaume-Uni depuis le 29 juillet.

Le Royaume-Uni a récemment été le théâtre de violentes émeutes après le meurtre de trois jeunes filles à Southport. La tolérance du Royaume-Uni à l’égard de groupes islamistes radicaux fragilise la cohésion sociale et la sécurité nationale.

Selon les données de l'équivalent britannique de l'Insee en 2021, le nombre de personnes s'identifiant comme blanches a diminué d'environ 500 000 en une décennie au Royaume-Uni et moins de la moitié des habitants se considèrent chrétiens.

Alors que de violentes émeutes secouent le Royaume-Uni depuis le 29 juillet, certains soulignent le fossé économique qui sépare Londres du reste du pays.

Ce qu’ils ont en ligne de mire, c’est aussi la liberté d’expression et l’exclusion du champ politique de ceux dont les discours dérangent. 

Alors que le Royaume-Uni fait face à des violences sans précédent, des pays étrangers, notamment russophones, sont soupçonnés d’avoir incité à la violence sur des réseaux sociaux et messageries.

La classe politique qui agitait les allumettes de la politique identitaire autour du bidon d'essence de l'immigration de masse est maintenant « choquée » que celui-ci ait soudainement pris feu !

Des manifestations violentes ont commencé après que des rumeurs se sont propagées sur les réseaux sociaux, sur l’origine et la religion de l’agresseur présumé qui a tué trois fillettes lundi à Southport.

Des émeutes d'une ampleur inédite secouent le Royaume-Uni depuis l'attaque au couteau qui a fait trois morts à Southport le lundi 29 juillet.

Des milliers de manifestants ont pénétré ce lundi 5 août dans le palais de la Première ministre Sheikh Hasina. Un peu plut tôt, elle avait pris la fuite à bord d'un hélicoptère.

Des huées contre le Premier ministre aux troubles, la colère publique est palpable.

La ville de Leeds, au nord de l'Angleterre, a été troublée par de violentes émeutes suite à un différend impliquant les enfants d’une famille locale et des employés des services sociaux.

D’après le Haut-Commissariat de la République, "la nuit a été agitée" et les forces de l'ordre ont été "prises à partie" par les émeutiers.