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Plus révoltant que ça, tu meurs !

Prix d'un cercueil, d'une crémation, quelques chiffres à connaître sur le marché des obsèques.

En France, seulement deux modes de sépultures sont autorisés, l'inhumation et la crémation. Pourtant, de nombreuses autres techniques existent, plus respectueuses de l'environnement.

La raison d’une telle nouveauté ? Le désir de proposer un enterrement propre ne laissant aucune trace et ne pesant pas écologiquement dans un monde surpeuplé.

Les rites funéraires sont multiples et dépendent beaucoup des cultures. Dans la tradition chrétienne, l'inhumation est la plus courante. Cependant, la crémation tient également une bonne place, en dépit de nombreux inconvénients.

Traditionnellement, l'Église préfère l'enterrement. La crémation est autorisée, mais uniquement de manière encadrée.

Si la plupart des funérailles semblent se dérouler selon des traditions assez ancrées, la loi encadre en réalité assez peu les questions relatives à la conservation des corps et aux funérailles.

Les caractéristiques de la vie moderne complexifient parfois le choix du lieu d'inhumation. Certains préfèrent se faire enterrer dans leur village d'enfance comme Mitterrand, d'autres dans leur lieu de résidence comme de Gaulle.

Le prix de l'urne : 2100 euros.