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Agnès Saal avait été sanctionnée pour des frais de taxis indus dans l'exercice de ses fonctions. La Légion d’honneur vient de lui retirer, pour deux ans, son titre de chevalier et sa promotion au grade d'officier a été annulée.

La nomination de l'ancienne directrice de l'INA, qui avait été condamnée à trois mois de prison avec sursis et à une double amende à cause de frais de taxis très élevés, au poste de haut fonctionnaire à l'égalité et la diversité fait polémique.

L'ancienne dirigeante de l'Ina et du Centre Pompidou va débuter sa nouvelle mission de haut fonctionnaire à l'égalité, la diversité et la prévention des discriminations dès le 1er septembre.

Cette décision intervient quelques jours après une autre condamnation, dans l'affaire de ses frais de taxi à l'INA.

L'ancienne dirigeante de l'INA avait plaidé coupable dans une affaire de notes de taxis très élevées.

Le Point a publié un exemplaire de la lettre qui sera adressée au président de la République par les amis de l'ex patronne de l'Ina.

Il est inutile de s'acharner sur l'un de ces agents de l'Etat qui, plein de morgue et de froide déraison, jettent par les fenêtres un argent qu'ils ont très peu gagné, parce qu'ils n'en voient même pas la couleur tant ils ont de secrétariats pour payer à leur place.

Selon Le Point, le Président de la République a prononcé, par décret, une sanction d’exclusion de la fonction publique de 2 ans, dont 6 mois fermes, à l’encontre d’Agnès Saal, épinglée pour avoir consommé 40.000 euros de taxi aux frais du contribuable, dont une partie substantielle pour son fils. Cette ténébreuse affaire trouve ici un épilogue qui soulève quelques questions de fond, tant son traitement est exorbitant du droit commun.

Elle avait dépensé plus de 40 000 euros en frais de taxi.

L'audition a été menée ce mardi de 9h à 15h par les enquêteurs de la brigade de répression de la délinquance économique (BRDE) de la police judiciaire parisienne, selon des informations d'Europe 1.

Beaucoup d’affaires de gros sous cette semaine dans nos médias… La dette grecque, bien sûr, ou comment sauver l’Europe (sa face, son avenir, son Histoire… et son portefeuille) ; mais aussi les 500 plus grosses fortunes de France... C'est la revue de presse des hebdos, par Sandra Freeman.

Le bras de fer entre Athènes et ses créanciers continue. A six jours d’un possible défaut de paiement de la Grèce vis-à-vis du Fonds monétaire international (FMI), un eurogroupe "spécial Grèce" doit se tenir ce mercredi 24 juin au soir à Bruxelles.

Il s'agit d'une somme très supérieure à celle qui avait poussé Agnès Sall à quitter la direction de l'INA en avril (40 000 euros en six mois).

Fleur Pellerin, ministre de la Culture : "De tels comportements ne sont pas acceptables".

Après avoir démissionné de la présidence de l'INA le 28 avril pour des frais de taxi mirobolants, Agnès Saal rejoint la rue de Valois.

Dimanche, Le Figaro avait épinglé ses frais de taxi exorbitants – plus de 40 000 euros en dix mois.

A la tête de l'Institut national de l'audiovisuel, Agnès Saal utilisait le taxis pour ses trajets professionnels et privés.