A l'occasion de la sortie de son dernier ouvrage, Thomas Guénolé nous explique notamment pourquoi il est faux et dangereux de dire que l'islam ne serait pas compatible avec la République.
27 janvier 2017Le Réseau Atlantico
Best-Of du 2 au 8 novembre
Thomas Guénolé est politologue et maître de conférence à Sciences Po. Son dernier livre, Islamopsychose, est paru aux éditions Fayard.
A l'occasion de la sortie de son dernier ouvrage, Thomas Guénolé nous explique notamment pourquoi il est faux et dangereux de dire que l'islam ne serait pas compatible avec la République.
Entre haine et paranoïa, la société française se fait de sa minorité musulmane et de l’islam français une représentation collective délirante, c’est-à-dire déconnectée de la réalité. C’est ce que Thomas Guénolé appelle l’islamopsychose. Il s’attelle, dans ce livre, à pointer les erreurs et à déconstruire les préjugés assénés sur ces sujets par Manuel Valls, Gilles Kepel, Éric Zemmour et bien d’autres. Extrait d'"Islamo-psychose" de Thomas Guénolé, publié chez Fayard (2/2).
Entre haine et paranoïa, la société française se fait de sa minorité musulmane et de l’islam français une représentation collective délirante, c’est-à-dire déconnectée de la réalité. C’est ce que Thomas Guénolé appelle l’islamopsychose. Il s’attelle, dans ce livre, à pointer les erreurs et à déconstruire les préjugés assénés sur ces sujets par Manuel Valls, Gilles Kepel, Éric Zemmour et bien d’autres. Extrait d'"Islamo-psychose" de Thomas Guénolé, publié chez Fayard (1/2).
Thomas Guénolé soutient que si la grande connexion mondiale des peuples, des économies et des cultures est irréversible, en revanche cette mondialisation malheureuse n'est pas inévitable. Solutions concrètes à l'appui, il propose de la remplacer par l'altersystème : une mondialisation à visage humain. Extrait de "La mondialisation malheureuse", de Thomas Guénolé, aux éditions First 2/2
Thomas Guénolé soutient que si la grande connexion mondiale des peuples, des économies et des cultures est irréversible, en revanche cette mondialisation malheureuse n'est pas inévitable. Solutions concrètes à l'appui, il propose de la remplacer par l'altersystème : une mondialisation à visage humain. En conclusion de son livre, il affirme que la victoire prochaine d'un parti altersystème dans une grande puissance économique mondiale est inéluctable. Extrait de "La mondialisation malheureuse", de Thomas Guénolé, aux éditions First 1/2
Cécile Duflot occupe l'espace médiatique grâce à sa critique acerbe du président de la République et du Premier ministre, tout en oubliant de faire son mea culpa.
22 août 2014Dans la perspective d'un retour de Nicolas Sarkozy, les centristes occupent une place on ne peut plus stratégique, car c'est autour d'eux que les systèmes d'alliances et les défections de l'UMP se feront. Revue des ententes possibles.
6 juillet 2014A en croire l'évolution des sondages, le rassemblement UMP-UDI-Modem à Paris ne profite pas à NKM. Pis : la candidate UMP fait moins bien dans les sondages que lorsque les différents partis de droite présentaient chacun un candidat dans la capitale.
Jean-Pierre Chevènement est l'invité de tous les plateaux pour la sortie de son dernier ouvrage, "1914-2014, L'Europe sortie de l'Histoire". A 74 ans, l'ancien ministre de l'Intérieur connaît une véritable résurrection médiatique. A tel point que ses partisans et certains observateurs l'imaginent à Matignon.
Si durant sa campagne de 2012, François Hollande a tout fait pour se démarquer de Nicolas Sarkozy, il présente plusieurs points communs avec Jacques Chirac. Les deux hommes ont notamment pris l'habitude d'abandonner leurs réformes dès que les protestations deviennent vigoureuses.
Après plus de onze ans de séparation, Jean-Louis Borloo et François Bayrou ont scellé hier mardi le rapprochement de leurs deux formations, l'UDI et le MoDem, sous la dénomination "l'Alternative".
Le rapprochement entre François Bayrou et Jean-Louis Borloo est officialisé ce mardi. L'occasion pour Atlantico de procéder à un tour d'horizon du paysage politique français.
La proposition de Jean-François Copé de réformer le droit du sol divise l'opposition. Au-delà des clivages idéologiques qui traversent la droite depuis des années sur cette question, on peut également voir dans cette annonce du président de l'UMP un mouvement tactique pour contrer le FN et se repositionner face à François Fillon.
Le sénateur écologiste Jean-Vincent Placé a appelé mardi 22 octobre à ce que les manifestations de soutien à Leonarda reprennent.
Après s'être abstenus en 2013, les députés du Front de gauche voteront contre le budget du gouvernement socialiste pour 2014.
Parti anti-système mobilisant plutôt sur les questions économiques et sociales dans le Nord, le Front national joue pourtant dans le Sud la carte identitaire et ne s'interdit pas des accords de coulisses avec l'UMP.
Dans une interview au Journal du Dimanche, François Fillon a déclaré être "de facto en compétition" avec l'ancien chef de l'Etat Nicolas Sarkozy.
Malgré la popularité grandissante du ministre de l'Intérieur auprès des Français, le chemin reste long jusqu'en 2017... ou plutôt jusqu'en 2022, si François Hollande est candidat à sa propre succession.
Dans un entretien accordé au journal Le Monde, l'ancien candidat des Verts à l'élection présidentielle a annoncé son départ, déclarant que son parti était aujourd'hui "prisonnier de ses calculs et de ses clans".
Avant l'université d'été du Front national qui se tiendra ce week-end à Marseille, Marine Le Pen attaque fort en déclarant : "Sarko, c'est fini".