Michael Parmy, l’ancien représentant des Etats-Unis à Cuba, voit dans les dernières promesses de Raul en faveur de réformes économiques, un signe d’ouverture contraint et très prudent.
11 août 2011Le Réseau Atlantico
Best-Of du 2 au 8 novembre
Michael E. Parmly a récemment pris sa retraite après une carrière pour le gouvernement américain, d'abord dans le Peace Corps, puis dans le département d'Etat en Espagne, au Maroc, en Roumanie, en France, à Bruxelles et à la mission américaine à l'ONU à Genève.
A Washington, il a servi au sein du Bureau du renseignement et de la Recherche, en tant que Directeur Europe du Nord, et en tant que secrétaire adjoint d'État par intérim pour la Démocratie et droits de l'homme. Il a conclu sa carrière en tant que chef de mission de la Section des intérêts des États-Unis) à La Havane, à Cuba de 2005 à 2008.
Michael E. Parmly réside aujourd'hui en Suisse, tout en voyageant sur des contrats de consultants. Il est actuellement Conseiller pour les Affaires étrangères du ministre des Affaires étrangères du Kosovo.
Michael Parmy, l’ancien représentant des Etats-Unis à Cuba, voit dans les dernières promesses de Raul en faveur de réformes économiques, un signe d’ouverture contraint et très prudent.
Après les incidents à la frontière de la Serbie et du Kosovo depuis le 25 juillet dernier, Michael E. Parmly à Pristina juge que seule une reconnaissance mutuelle mettra fin au spectre d’un retour de la guerre...