Pour Maya Khadra, il y a une forte confusion des Occidentaux sur la situation au Liban.

Trois pays de l’Union européenne ont annoncé conjointement mercredi 22 mai la reconnaissance à partir du 28 mai prochain de l’État palestinien : l'Espagne, la Norvège et l'Irlande.

La violence et l’islamisme sont devenus donc des éléments constitutifs de la lutte pour la Palestine, affaiblissant ainsi l’identité nationale au profit d’une identité religieuse et exposant le sort des Palestiniens aux instrumentalisations politiques des mollahs et ses proxies.

Politiquement, économiquement et socialement le pays du cèdre n'arrive toujours pas à sortir d'une crise sans fin. Point sur la situation.

L’ancien Premier ministre Saad Hariri a renoncé, jeudi, à former un gouvernement au Liban après neuf mois de tractations infructueuses. Un fiasco en partie dû aux exigences de la France, qui n'a pas abordé la situation libanaise de manière réaliste.

Près d'un mois après une première visite, Emmanuel Macron était de retour au Liban cette semaine. Quel bilan peut-on tirer des interventions du chef de l'Etat français et quel regard peut-on porter sur le rôle de la France ?

Le Premier ministre libanais Saad Hariri a démissionné mardi dernier. Cette décision intervient après les nombreuses manifestations et face à la colère du peuple. Le Président Aoun et le Hezbollah ont essayé de le convaincre de rester.

Le 4 novembre 2017 est une date phare dans l’histoire contemporaine du Liban. Le Premier Ministre Saad Hariri annonce sa démission, inopinée, depuis Riyad en Arabie saoudite. Retour sur les derniers événements.

Sur Twitter, la vague d’indignation a été sporadique, irrégulière et surtout inefficace.