Elle croule sous les impôts et les taxes, et tire "la charrette" du secteur public : Privatine, c'est l'histoire d'une mule qui incarne le secteur privé en France, aujourd'hui asphyxié par l'Etat.
10 avril 2017Le Réseau Atlantico
Best-Of du 2 au 8 novembre
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Elle croule sous les impôts et les taxes, et tire "la charrette" du secteur public : Privatine, c'est l'histoire d'une mule qui incarne le secteur privé en France, aujourd'hui asphyxié par l'Etat.
Un naufrage programmé ? Privatine, la mule croulant sous les fardeaux, s’est effondrée sur la place du village. Privatine ? C’est l’économie privée, la bête de somme qui soutient à bout de forces les 30 millions de personnes dépendant de la dépense publique. Accablée de charges, impôts et normes, elle est épuisée, dépassée par ses consoeurs étrangères qui caracolent loin devant. Et si Privatine venait à mourir ? Extrait de "Privatine, la mule qui souffrait d'être trop chargée" d'Irène Inchauspé et Olivier de Massy, aux Editions du Cerf (2/2).
9 avril 2017Un naufrage programmé ? Privatine, la mule croulant sous les fardeaux, s’est effondrée sur la place du village. Privatine ? C’est l’économie privée, la bête de somme qui soutient à bout de forces les 30 millions de personnes dépendant de la dépense publique. Accablée de charges, impôts et normes, elle est épuisée, dépassée par ses consoeurs étrangères qui caracolent loin devant. Et si Privatine venait à mourir ? Extrait de "Privatine, la mule qui souffrait d'être trop chargée" d'Irène Inchauspé et Olivier de Massy, aux Editions du Cerf (1/2).
8 avril 2017Qu'ont en commun François Hollande qui accuse Bruxelles de ses revers, Thomas Thévenoud qui incrimine sa phobie administrative, Jérôme Kerviel qui se déclare victime du système ? « C'est pas ma faute ! » s'exclament-ils en choeur. Petits et grands reprennent le refrain avec entrain. Ils stigmatisent le mal français de la désinvolture, de l'irresponsabilité et de la démission. De juin 1940 à aujourd'hui, en passant par mai 1968, ce livre retrace notre dégringolade. Et détaille les conditions de notre sortie de l'infantilisation. Extraits de "C'est pas ma faute" d'Irène Inchauspé et Claude Leblanc, aux éditions du Cerf 2/2
7 avril 2015Qu'ont en commun François Hollande qui accuse Bruxelles de ses revers, Thomas Thévenoud qui incrimine sa phobie administrative, Jérôme Kerviel qui se déclare victime du système ? "C'est pas ma faute !" s'exclament-ils en choeur. Petits et grands reprennent le refrain avec entrain. Ils stigmatisent le mal français de la désinvolture, de l'irresponsabilité et de la démission. De juin 1940 à aujourd'hui, en passant par mai 1968, ce livre retrace notre dégringolade. Et détaille les conditions de notre sortie de l'infantilisation. Extraits de "C'est pas ma faute" d'Irène Inchauspé et Claude Leblanc, aux éditions du Cerf 1/2
6 avril 2015