Quand vous vous regardez dans la glace, vous ne vous trouvez pas très doué. Et vous avez tort. Car, en réalité, vous êtes créatif, vous avez beaucoup d'intuition, vous êtes capable de faire plusieurs choses à la fois, vous raisonnez plus vite et souvent mieux que les autres, vous êtes efficace. Extrait de "Petit guide à l'usage des gens intelligents qui ne se trouvent pas très doués" de Béatrice Millêtre chez Payot. 2/2

Quand vous vous regardez dans la glace, vous ne vous trouvez pas très doué. Et vous avez tort. Car, en réalité, vous êtes créatif, vous avez beaucoup d'intuition, vous êtes capable de faire plusieurs choses à la fois, vous raisonnez plus vite et souvent mieux que les autres, vous êtes efficace. Extrait de "Petit guide à l'usage des gens intelligents qui ne se trouvent pas très doués" de Béatrice Millêtre chez Payot. 1/2

Ce n’est pas parce que votre enfant ou vous-même êtes brillants ou talentueux que vous êtes surdoués. Et ce n’est pas parce que vous êtes surdoués que vous êtes malheureux. Extrait de l'ouvrage "Le livre des vrais surdoués" de Béatrice Millêtre, publié aux Éditions Payot. (1/2)

Ce n’est pas parce que votre enfant ou vous-même êtes brillants ou talentueux que vous êtes surdoués. Et ce n’est pas parce que vous êtes surdoués que vous êtes malheureux. Extrait de l'ouvrage "Le livre des vrais surdoués" de Béatrice Millêtre, publié aux Éditions Payot. (2/2)

Épuisés nerveusement, les enfants craquent. Un ado sur trois serait même en burn-out, ou en passe de l’être. À quoi est-ce dû ? Principalement à la pression exercée sur eux par les parents et l’école. Ils doivent être premiers partout, sans plus aucun droit à l’erreur, alors que les adultes, eux-mêmes perdus, n’offrent plus de modèle stable d’éducation et que la société du bien-être magnifie l’imperfection… Extrait de "Le burn-out des enfants", de Béatrice Millêtre, aux éditions Payot 2/2

Enfants et adolescents sont également touchés par le "burn-out", et ce dans des proportions inquiétantes. Outre les parents et les enseignants, c'est l'ensemble de la société qui les pousse à se surpasser et à refuser l'échec.

Épuisés nerveusement, les enfants craquent. Un ado sur trois serait même en burn-out, ou en passe de l’être. À quoi est-ce dû ? Principalement à la pression exercée sur eux par les parents et l’école. Ils doivent être premiers partout, sans plus aucun droit à l’erreur, alors que les adultes, eux-mêmes perdus, n’offrent plus de modèle stable d’éducation et que la société du bien-être magnifie l’imperfection… Extrait de "Le burn-out des enfants", de Béatrice Millêtre, aux éditions Payot 1/2